Tout en m'alimentant, je pense aux mots de l'entraîneur. Il avait raison : ça fait plus mal quand on ferme les yeux. Les souvenirs vous envahissent et sévissent pendant le sommeil. Il y a certaines choses dont on ne se défait pas, qui restent incrustées comme la cendre dans les pores d'un chauffeur de locomotive.