Nationalité : Canada
Né(e) à : Grand-Mère , le 25/05/1929
Biographie :
Lévis Martin est un homme de lettres.
Après avoir fait carrière dans l’enseignement comme professeur d’art et de littérature, au Séminaire de Trois-Rivières de 1954 à 1972, puis au cégep de la même ville, de 1973 à sa retraite en 1990, Lévis Martin a pu enfin se consacrer à l’écriture. Coordonnateur provincial de l’enseignement des arts plastiques au collégial, entre 1985 et 1990, il s’est aussi fortement impliqué dans le milieu culturel.
Dès 1962, Lévis Martin est l’un des cofondateurs du journal d’histoire "Le Boréal Express". Au début des années 1980, il assume un mandat de deux ans comme membre du comité des acquisitions du Musée d’art contemporain de Montréal. Il agit aussi à titre de recherchiste pour le secteur des arts visuels et à titre de concepteur graphique pour les sections en couleur du "Dictionnaire canadien des noms propres" publié par Larousse, en 1989. Critique d’art, Lévis Martin a collaboré à plusieurs publications, dont les revues" Vie des arts", "Art Le Sabord" et "Cap-aux-Diamants".
Membre d’honneur de la Société des écrivains de la Mauricie et membre d’honneur de la Maison Rodolphe-Duguay à Nicolet, Lévis Martin a été choisi comme premier lauréat du prix Hommage lors de l’événement Arts Excellence Mauricie 2004, distinction visant à "souligner le travail et l’implication remarquables d’un artiste pour son milieu et sa région".
En 2005, il remportait le Grand Prix de la culture Le Nouvelliste de la Ville de Trois-Rivières ; il était aussi finaliste pour le Prix de littérature Gérald-Godin. Lévis Martin est membre de l'Union des écrivaines et des écrivains québécois.
Lévis Martin dans cette œuvre monumentale, a su trouver un équilibre narratif sachant d'une part créer l'intérêt et, d'autre part par l'emploie du double récit, - le journal intime de Duguay et l'analyse chronologique correspondante - , créer une montée dramatique certaine qui accorde, sans nuire à l'intégrité et la rigueur de l'ensemble, une qualité littéraire indéniable.
Les déclarations de Leduc touchant le symbolisme religieux de travaux ultérieures témoignent de l'importance de l'église de Saint-Hilaire en tant que point de jonction de ses idées religieuses et esthétiques que concrétisera, au long de sa carrière, la profondeur même de son art.