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3.58/5 (sur 214 notes)

Nationalité : Royaume-Uni
Né(e) à : Essex , le 30/03/1959
Biographie :

Martina Cole est l'auteur de quinze thrillers qui mettent en scène la pègre londonienne des années 1970, et que les éditions Fayard ont entrepris de traduire.

Née à la campagne, britannique jusqu'au bout des ongles, elle avoue avoir eu sa période punk, jusqu'à se teindre les cheveux en rose.

Il n'y a pas de héros récurrent dans les livres de Martina Cole, mais cependant un fil conducteur : la femme. Ses héroïnes sont des victimes de la vie, de la violence des hommes surtout, et tombent souvent sur le mauvais numéro. Elles sont battues, violées, mises sur le trottoir. Elles protègent coûte que coûte leurs enfants contre l'Aide sociale.

Comme elles, Martina Cole a eu un passé difficile. Mère d'un garçon à 19 ans, elle a dû se battre contre un cancer et a subi deux divorces.

C'est en 1991, après avoir lu son roman Dangerous Lady, qu'un agent lui prédit qu'elle deviendra célèbre. Et chacun de ses livres seront effectivement de véritables succès, traduits dans trente langues et vendus à plus de neuf millions d'exemplaires dans le monde. Cependant, elle garde son humilité, reste fidèle à ses amis ainsi qu'à son éditeur.

Elle anime des ateliers d'écriture en prison, et prépare un documentaire sur les femmes tueuses en série : "Death Row Divas".

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Source : /livres.fluctuat.net
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Citations et extraits (188) Voir plus Ajouter une citation
Les chaines le l'Habitude sont trop faibles pour être senties, jusqu'à ce qu'elles deviennent trop fortes pour être brisées.

Samuel JOHNSON
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De tous les chagrins qui harcèlent le malheureux
Le plus amer, sans conteste, est le mépris moqueur
Jamais le sort ne frappe plus profond un cœur généreux
Que lorsque d'une insulte un imbécile darde sa flèche

Samuel JOHNSON (1709-1784)
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- Mais quand même, s'il te battait, pour ne pas en dire plus, t'asun bon argument, non ? Voyons, Sue, on est en 1985. Le Moyen Age, c'est fini. Aujourd'hui, il y a des lois qui protègent les femmes.
- Ah ouais ? fit Susan d'un ton sarcastique. Eh ben on peut dire qu'on a bien été soutenues, toutes les deux ! Tu parles d'une protection ! Je voyais les flics tellement souvent qu'ils m'invitaient à leur pot de Noël ! En vrai, il n'ont jamais rien fait. Bien sûr, ils l'emmenaient pour la nuit, histoire de me faire plaisir. Et puis ils le relâchaient le matin, sobre et frais comme un gardon. Barry, il n'avait pas besoin d'avoir un coup dans le nez pour être salaud. Il n'avait besoin de rien, sauf de sa mentalité pourrie. Ce que je veux dire, c'est que si les choses ont vraiment changé, alors, nous, qu'est-ce qu'on fait ici ? La semaine dernière, ils ont acquitté un type qu'avait tué sa femme rien que parce qu'elle le faisait chier. D'après le juge, elle l'avait rendu dingue à force de se plaindre. Alors, quoi de nouveau sous le soleil, tu peux me le dire ? Le gars se faisait harceler, et pof, il est sorti après sa préventive. Nous, on en a crevé, on a vécu dans la merde, et il faut encore qu'on paie pour la vie qu'on a supprimée. Même si c'était une horreur, cette vie-là. Mon Barry, c'était un vrai salopard, mais ça, le juge en avait rien à cirer.
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Il était tout le temps persuadé que leur mère cavalait ailleurs. En général, il avait raison.
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Quel bâton merdeux, ce Barry, une vraie brute, un salaud et qui battait sa femme. Sa femme, oui, mais pas Roselle. Jamais. Avec elle il était l'homme qu'il aurait dû être si la situation avait été différente.
Pourtant dès qu'il échappait à son influence, il redevenait Supermachoman. Franchement, c'en était comique.
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La vie, c'est un don de Dieu. Mais, ce qu'on en fait, ça dépend entièrement de nous. Et on n'a qu'une fois le droit d'y jouer.
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Elle était passée par là, elle savait quel dégoût Wendy épouvrait, combien elle souffrait de savoir que celui qui aurait dû la protéger s'était servi d'elle comme aucun homme ne devrait jamais se servir d'une femme, même pas d'une vénale prostituée. Elle comprenait sa colère, cette sensation d'inanité que la petite avait dans le coeur. Puis elle s'efforça de s'habituer à cette idée, d'ingurgiter l'horreur de ce qui venait de se passer. Toute sa vie, Wendy serait hantée, plus jamais elle n'aurait un moment heureux. Tout était gâché, irrémédiablement.
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Avec de l’argent plein les poches, les femmes étaient faciles à conquérir. Le sexe sans s’en faire, chose impossible quand on avait une maisonnée d’enfants chez soi. Mais la proximité, l’intimité d’après l’amour n’existaient plus, remplacées par des discussions sur les prouesses de chacun, en l’absence d’autre sujet de conversation. Il suffisait que la fille soit raisonnablement jolie, ait une grosse poitrine, et que vous ayez les moyens de lui offrir une soirée dans les beaux quartiers et le taxi pour rentrer chez elle.
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Son couple ne s’en remettrait pas. Il pouvait déjà lire l’horreur dans les yeux de sa femme. Sheila aimait ses enfants avec une dévotion absolue, plus forte que l’amour qu’elle lui portait. Si elle avait dû choisir entre eux et lui, son choix était fait d’avance, et c’était justement pour ça qu’il l’aimait. C’était ce qui l’avait attiré en elle, son côté mère de famille. Mais ces mêmes qualités avaient creusé entre eux une faille si large que rien ne semblait pouvoir la réduire.
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Toutes les femmes n’agissent pas par pur intérêt ! Il faut de tout pour faire un monde, pas seulement des salopes avides d’oseille et de respectabilité…
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