« Jusqu'à ce que la mort vous sépare », avait psalmodié le prêtre au moment de nous bénir. Notre existence était trop belle, nos sentiments trop forts. Il avait fallu qu'elle décide de s'en mêler, de réduire à néant cette passion qui nous liait. Elle s'était abattue sur nous comme le linceul qu'elle était véritablement afin de nous détacher l'un de l'autre. Elle seule avait eu ce pouvoir.