Lorsqu'il apprit, en 1925, le décès de Nitya, il était en mer, en route pour Colombo. Pendant une dizaine de jours, il parut complètement brisé. Selon Shiva Rao, qui partageait sa cabine, « la nuit, il sanglotait et gémissait, appelant Nitya à voix forte, utilisant parfois le telegu, sa langue maternelle, qu'il ne savait plus dans sa conscience de veille ». Mais un autre ami se souvient qu'à son arrivée à Madras, douze jours plus tard, « son visage était radieux. On n'y voyait pas une trace de ce qu'il venait de traverser ».