S’il était mort, j’aurais été capable d’évoquer nos bons moments, nos rires, nos vacances, nos instants complices sur le canapé, nos corps se touchant par hasard. Maintenant, je risquais de ternir ces souvenirs en y mêlant ce terrible soupçon : À quoi pensait-il vraiment alors ? Était-il en train de préparer son coup ?