Dans sa maison, ses sourires francs, il ne les offre plus qu'à ses enfants. Les baisers langoureux des débuts - qu'ils lui paraissent si lointains ! - sont devenus bisous discrets, sans caractère ni conviction, déposés furtivement sur sa joue. Ils laissent sur le visage de Louise une empreinte désagréable, emplie de courtoisie conjugale.