.
Tout d'abord , un grand merci à l'équipe de Masse Critique et aux éditions Faton pour ce précieux recueil , un très beau cadeau vraiment .
Je dois dire que c'est avec émotion que j'ai pu contempler les oeuvres de Jean Clouet et de son fils François , les deux plus grands portraitistes de la Renaissance .
Ce " carnet ", j'aime bien ce mot , ce carnet donc offre une sélection de "crayons" et de quelques peintures , immortalisant reines , infantes ou gentes dames de la noblesse européenne du XVIème siècle.
Sans doute apparaissent-t-elles magnifiées mais , leur contemplation reste un moment suspendu . Ne demeurent que grâce et beauté des atours , finesse et précision du trait , subtilité des nuances de la pierre noire et de la sanguine .
Les oeuvres sont accompagnées de courts textes relatant des précisions historiques ou encore quelques notes explicatives sur les techniques ou les rendus , le tout très bien dosé .
Cela donne vie au portrait , j'aime bien quand on me raconte une histoire . Alors , en deux mots , voici un condensé de celle qui accompagne le portrait d'une petite fille de 4 ans au visage diaphane , jouant avec un hochet . C'est Madeleine de France , troisième fille de François Ier . Elle épousa à 17 ans le roi Jacques V d'Ecosse et décéda deux mois après son arrivée en Ecosse ; elle fut surnommée la " reine d'été ".
Noblesse certes , reste le portrait d'un ange .
Mais dans l'ensemble , ces délicats portraits de femmes mettent en lumière leur rang , leur destin , leur esprit et l'importance de leur place à la cour dans un contexte politique et social : " le miroir des dames " ...
Une grande partie de la collection provient de celle de Catherine de Médicis , principale commanditaire des deux artistes.
le musée Condé au château de Chantilly conserve plus de 300 portraits . Je regrette de ne pas avoir eu la chance de voir l'exposition de l'été 2019 " crayons féminins de Clouet " .
Mais , aujourd'hui , posséder cet ouvrage , c'est aussi garder une petite fenêtre ouverte sur le génie .
Une petite part du trésor ...
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En cette année où l'on célèbre les 500 ans de la mort de Léonard de Vinci et où, naturellement, les livres sur le sujet fusent de partout à la fois, je me suis rendue compte que je n'étais pas spécialement calée sur le personnage. Bien sûr, je savais vaguement qu'il avait peint un portrait vaguement célèbre, présenté dans des conditions vaguement sécurisées dans un musée français vaguement fréquenté. Qu'il avait vaguement commis des dissections, s'était vaguement intéressé à pas mal de choses, avait vaguement travaillé pour François Ier après avoir quitté l'Italie, mais tout ça restait un peu... vague. Or, un Que sais-je ? fait souvent l'affaire pour réactualiser les connaissances et permettre de se lancer plus loin.
Ici, on passe assez vite sur les éléments biographiques, ce qui est dommage, pour suivre presque uniquement le parcours de peintre et de courtisan de Leonardo. Comme il a finalement - et paradoxalement - peu produit en peinture, le livre peut facilement présenter l'ensemble de ses œuvres, avec un léger détour du côté de la sculpture. Ce qu'on retiendra essentiellement, c'est que sa curiosité insatiable l'amenait régulièrement à pousser ses recherches dans des tas de directions, alors qu'il avait une ou plusieurs commandes en cours, et qu'il avait donc pour fâcheuse habitude de ne pas livrer lesdites commandes dans les temps, voire pas du tout.
En revanche, sur le côté novateur de sa peinture, on reste sur sa faim. Si on nous fait bien comprendre qu'il s'est peu à peu émancipé de ses premières influences - ce qui est le cas de tous les grands artistes, donc rien de neuf de ce côté-là -, il reste difficile de comprendre ce qu'il apporté de tellement nouveau à la peinture de son temps, jusqu'à devenir une référence incontournable. Et s'il est de notoriété publique qu'il a utilisé la fameuse technique du sfumato, il aurait peut-être été intéressant, d'une part, d'expliquer clairement en quoi consistait cette technique, et d'autre part, de préciser s'il en était plus ou moins le "créateur" (ce genre d’affirmation étant toujours à prendre avec des pincettes), ou s'il l'avait plus utilisée que d'autres peintres, améliorée, ou que-sais-je encore. Je note d'ailleurs qu'un glossaire aurait tout de même été utile en fin d'ouvrage, notamment pour les lecteurs curieux mais non forcément familiers du vocabulaire de l'histoire de l'art.
Là où l'auteur, Mathieu Deldicque, tient vraiment ses promesses, c'est dans la seconde partie. Il s'y attaque aux idées reçues qui courent encore et toujours sur Leonardo (et que certains livres sortis ou ressortis récemment diffusent malheureusement à l'envi) pour montrer que oui, on sait très bien qui est le modèle de Mona Lisa et, plus important encore, pour démonter le mythe d'un homme très en avance sur son temps, inventeur génial, scientifique tout autant que peintre. Tout ça est argumenté simplement mais efficacement, et l'on comprend, si l'on n'était pas déjà au courant, que Leonardo était un touche-à-tout avide de connaissances qui multipliait les projets, mais certainement pas un scientifique. Un exemple tout bête : la plupart de ses machines dessinées n'auraient pas pu fonctionner. D'où la construction de ce Que sais-je ?, qui s'intéresse plus à la peinture de Leonardo qu'au reste de ses activités : c'est qu'il était un peintre avant tout, un peintre de formation, et un peintre cherchant à renouveler son art.
Je me serais bien passée cependant de l'autopromotion à propos de la prochaine exposition du musée Condé de Chantilly, où travaille Mathieu Deldicque, ainsi que de la grammaire parfois un peu hasardeuse de ce dernier.
Cependant, le point le plus important que je retire de cette lecture, c'est que j'ai appris la définition du mot "poliorcétique" (mais je nous vous dirai pas ce que c'est, ah ah !)
Masse critique Non fiction
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C'est l'oeil de la Joconde qui vous amène à entrer dans ce Que Sais-Je ? 1519, voilà 500 ans que le maître nous a quittés, il fallait bien le célébrer dans toutes les maisons d'édition, comme chez lui au Clos Lucé.
Une jolie couverture , c'est nouveau. Les étudiants ont plus l'habitude des couvertures spartiates de ces concentrés de connaissance qui vous promettent de faire le tour d'une question en quelques 100 pages et 9 euros, un petit défrichage de base ou pour rafraîchir la mémoire . C'était une opération Masse critique, j'avais tout coché ou presque sur Léonard de Vinci. Je remercie Babelio et les PUF pour ce moment de révision culturelle.
Cet opus ne faillit pas à la tradition, mais nous montre quand même les limites du genre.
Deux parties inégales, une qui raconte le parcours de Léonard de Vinci, jalonnée de commentaires d'oeuvres Suivie d'une partie analytique plus courte ...j'ai passé mon temps sur internet, pour chercher les oeuvres décrites. La collection n'est pas très adaptée à l'histoire de l'art qui nécessite des reproductions des oeuvres. Une seule en noir et blanc, nous accueille et vous invite à aller la voir au musée du château de Chantilly, c'est l'énigmatique « Joconde nue ».
Léonard était quelqu'un de très dispersé , à la limite de la procrastination. Son oeuvre qui nous est parvenu, compte peu de peintures, une quinzaine, beaucoup de dessins, pas mal d'inventions visionnaires et beaucoup de choses abandonnées. Il savait organiser des fêtes et des spectacles, il était aussi architecte et j'en oublie sûrement ...l'auteur s'interroge sur ce touche à tout de génie, jamais content de son travail, qui est devenu un mythe à lui tout seul . On croit le connaître, mais il se dérobe sans cesse à l’explication et reste mystérieux.
La prochaine fois que je vais au Louvres, je n'essayerai pas d'éviter Mona Lisa et ses milliers de touristes, comme je le fais d'habitude, je vais essayer de me perdre dans son regard venu de la nuit des temps , promis !
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Ce Beau livre relié, d'un format maniable,est en fait le catalogue enrichi et raisonné d'une exposition qui s'est tenue de juin à octobre 2022 au Château de Chantilly, réunissant les portraits des enfants et petits enfants de François 1er, portraits dispersés depuis des siècles à travers le monde.
Outre qu'elle permet une vue générale de l'évolution du portrait d'enfant et des dessins au crayon servant de mémoire aux peintres , cette exposition est encore plus riche de par le travail historiographique dont ce catalogue est l'aboutissement.
Ce livre est donc un magnifique objet, par la qualité des illustrations comme par l'intérêt des textes qui l'accompagnent.
Pourquoi ces portraits des enfants royaux de France? Ceux-ci étaient élevés loin de leur royaux parents, à l'abri des manigances et des dangers divers tels que maladies( qui toutefois ne les épargneront guère), les complots , et seront élevés ensemble au milieu d'enfants de familles nobles, constituant une véritable "Petite cour" telle qu'on la nommait. Entourée de gouvernants et de gouvernantes, de maîtres de toute sorte ,de valets de servantes et de gens d'église, les enfants royaux liaient avec leurs pairs nobles de solides amitiés qui plus tard compterait en tant qu'alliances politiques. Les portraits, ancêtres des photos posées sur les gueridons royaux au 19 et 20eme siecle, servaient à la fois de consolation affective contre la perte fréquente des enfants en bas âge, mais aussi de bulletin de santé, et enfin, de document politique. Ils permettaient de faire connaître l'héritier du trône, de fabriquer des miniatures pour la conclusion des mariages.
En dépit de leur côté convenu, très présent chez Jean Clouet,père de François Clouet, ces portraits sont souvent émouvants, qu'il s'agisse des presque bébés encore, habillés comme des adultes, ou des adolescents dont le visage est déjà assombri par le poids de l'existence.
Le texte est précieux pour expliquer le destin de chacun, et donner envie d'en savoir plus, grâce à une abondante bibliographie.
J'ai personnellement fait de ce beau livre un élément décoratif, en l'exposant côté couverture, comme il le mérite.Le splendide portrait restauré n'est autre que celui de Marguerite (1553-1615) huitième des onze enfants d'Henri II et Catherine de Médicis, future épouse d'Henri III de Navarre, lui-même futur Henri IV. La reine Margot, donc, dans toute sa beauté encore enfantine.
Je remercie vivement Masse Critique, et les éditions Faton pour l'envoi de ce magnifique ouvrage.
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Léonard de Vinci est décédé le 2 mai 1519 au Clos Lucé en France, pour les cinq cents ans de sa mort les ouvrages sont multiples et vous pourrez même trouver des expositions consacrées à l'homme et à son œuvre.
Léonard peintre, sculpteur, architecte, mais aussi philosophe, selon François 1er.
L'ouvrage de Mathieu Deldicque se compose de deux parties. La première est une biographie chronologique, classique où je n'ai rien découvert de plus que dans les nombreuses biographies consacrées à l'artiste.
Son œuvre, ses relations avec les puissants, mais aussi avec ses disciples y sont racontées dans un style épuré qui permet une lecture aisée.
La deuxième partie de l'ouvrage est plus captivante. L'auteur nous propose une analyse de l'homme et de son œuvre. Les points abordés nous apportent différentes clefs pour décrypter l'œuvre de Léonard de Vinci. Ce génie qui était un grand observateur de la nature et du corps humain. Un observateur qui veut comprendre et qui pour cela n'hésitera pas à disséquer des cadavres.
Ses observations et ses analyses feront de lui un des plus grands scientifiques de la Renaissance.
L'œuvre de Léonard de Vinci reste encore aujourd'hui fascinante, bien qu'il ait l'habitude de ne pas achever ce qu'il entreprenait pourtant avec passion. Ingénieur et inventeur tout autant que peintre.
La Joconde n'est finalement qu'une infime partie de son œuvre et pas la plus belle (ce n'est que mon opinion).
Une immense qualité de l'auteur, Mathieu Deldicque, c'est de savoir partager son enthousiasme pour Léonard de Vinci.
Une lecture que je vous recommande.
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Je remercie Babelio et les éditions Faton de m'avoir sélectionné lors de la dernière masse critique et fait parvenir ce petit livre d'art très intéressant.
Je n'avais pas fait attention en cochant mon choix, qu'il s'agissait du catalogue d'une exposition en cours au château de Chantilly. Et ce fut un peu déstabilisant pour moi au départ, car habituellement, je feuillette ce type d'ouvrage pour m'en servir de soutient à ma mémoire après avoir vu l'expo. Ici ce n'est pas le cas, c'est donc en totale découverte, puisque je ne connaissais pas non plus cet artiste, que j'ai parcouru ces quelques pages biographiques.
J'ai donc découvert un artiste complet, certainement fin "diplomate" pour savoir se placer dans de nombreuses situations intéressantes. Ce fut aussi pour moi une petite révision de l'histoire de France de cette époque que j'ai pu étudié dans mes jeunes années.
Et finalement le catalogue des différentes œuvres présentées dans cette expo me donnerait bien envie d'aller la visiter.
Une lecture très intéressante et instructive
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L'Histoire de France et de celles de ses femmes à travers les mains habiles et le talent de Jean et François Clouet.
Cet ouvrage recense une galerie de portraits réalisés par les talentueux père et fils.
Ces portraits sont ceux de reines ou anonymes dont certains furent des travaux préparatoires d' huiles sur bois.
Une jolie façon d'aborder l'Histoire des XVI ème et XVII ème siècle à travers l'art et le talent de deux portraitistes.
Superbe.
Amateurs d'art ou d'histoire, il est pour vous.
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Vive Masse Critique! Et merci à Babelio et à tous les éditeurs qui y participent: c'est en effet toujours l'occasion de belles découvertes.
Comme ce petit ouvrage, publié à l'occasion de l'exposition inaugurale du cabinet d'arts graphiques du musée Condé, au Domaine de Chantilly, que j'ai reçu avec beaucoup de plaisir. En tant qu'objet, déjà, il est parfait, de très belle qualité, aussi bien pour l'impression que le travail de mises en page, la qualité du papier, de la couverture... C'est toujours dommage quand les livres d'art ne sont pas à la hauteur de ce qu'ils présentent! Rien de ça ici et le lecteur en découvre les oeuvres avec d'autant plus de plaisir.
Après une courte introduction sur le dessin et ses multiples incarnations et médiums à la Renaissance, plus particulièrement en Italie, voici donc présentée une série d'études, de portraits, d'esquisses, de dessins préparatoires et leurs notices. C'est très complet, détaillé, un de ces albums d'art qu'on ouvrira de nouveau, encore et encore.
Toutes de très belles oeuvres, elles ont totalement réussi à me fasciner et cet petit album a atteint son objectif: j'ai bien l'intention de filer à Chantilly pour voir cette fameuse exposition inaugurale!
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J’ai, et je remercie encore et toujours, l’ensemble des opérateurs de cette « Masse critique » qui, au-delà de nous offrir un livre, nous offre souvent l’occasion de nous intéresser, de nous faire découvrir ce que nous n’irions peut-être jamais recherché nous-même.
Moi, pour la peinture, le dessin, je reste un néophyte très intéressé pour l’unique raison que c’est beau à l’œil. J’ai parcouru, en juin 2016, la villa Brogèse à Rome, la Galerie des Offices à Florence et donc recevoir ce catalogue, édité pour l’inauguration du « Cabinet d’arts graphiques du Musée Condé » à Chantilly.
C’est parti sur la route de la Renaissance italienne de Venise à Florence à la rencontre de Bellini, Miche-Ange, Le Parmesan… Il y a encore une vingtaine d’années ces noms n’étaient que des noms, et encore, je n’en connaissais qu’une. Aujourd’hui, mon œil d’amateur, si pauvre côté technique pictural se régale de la beauté du travail de ces italiens de génie qui nous ont laissé à voir.
Ce qui est intéressant c’est la démarche qui s’en suit, d’aller se renseigner sur l’époque, les œuvres, la vie, sur Florence, sur Rome, sur Venise et d’essayer de hiérarchiser tout que ce nous pouvons apprendre.
Aujourd’hui, je peux dire j’aime la peinture et le travail des peintres. Mais je reste un spectateur averti.
Alors merci, encore une fois, ce livre est magnifique et il suscite l’envie de faire une sortie culturelle à Chantilly.
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Comme je ne connaissais que de loin les œuvres d’Eugène Lami, j’ai demandé ce livre lors de la masse critique, histoire d’en savoir plus.
Tout d’abord, c’est un très beau livre où les illustrations et les photos sont nettes et de bonne qualité.
Le livre est en trois parties, la dernière étant un catalogue où des tableaux et des dessins de l’artiste sont expliqués. C’est aussi ma partie préférée, puisque le travail de Lami se mêle avec l’histoire et que c’est très bien expliqué.
Cependant, j’ai eu plus de mal avec les deux premières. Elles décrivent bien les relations entre Lami et la famille d'Orléans et souligne l'apport de l'artiste en matière de décoration. Mais je m’attendais à une biographie plus détaillée, alors qu’elle n’est qu’un prétexte pour situer chronologiquement toutes les œuvres de Lami. Ce qui est dommage dans la mesure où il semblait avoir plusieurs rivaux et un fort caractère. En cela je pense que ce livre s’adresse à ceux qui connaissent déjà bien Eugène Lami. Même si, bien sûr, j’ai pu apprendre plein de choses sur lui…
J’ai aussi été dessus dans mes attentes, la quatrième de couverture le présente comme « peintre du dandysme officiel », d’après les mots de Baudelaire, mais cette thématique n’est pas abordée.
Mon avis reste donc très mitigé sur ce livre.
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Livre absolument passionnant sur le dessin italien de la Renaissance. ces pièces sont issues de la collection du Duc d'Aumales et ont été pour la plus grande partie achté par ce dernier à Reiset. La collection contient des pièces de toute beauté et des plus grand dessinateurs de l'époque tel Michel Ange, Le parmesan ou Bellini. Je dois aussi applaudir le commentaire détaillé et passionnant de l'auteur. il ne nous retrace pas l'appartenance des œuvres, il n'en a pas besoin mais nous parle de l'auteur et de l'oeuvre elle même. les commentaires ne sont pas long mais très bon de même que l'introduction qui en quatre pages m'a beaucoup appris.
Mon seul reproche est le fait que les commentaires et les dessins ne sont pas côtes à côtes. l'éditeur a fait le choix de les scinder. Il est vrai que c'est agréable de regarder tous les dessins à la suite mais j'aurais préféré l'autre option. les reproductions sont cependant excellentes.
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Merci tout d abord a masse critique de m avoir permis de faire connaissance avec Clouet.
C’est sous le règne de François Ier, grâce a Jean Clouet, que le portrait individuel d’enfant connaît un développement sans précédent en France.
Des portraits dessinés ou peints par Jean et François Clouet, par Germain Le Mannier ou encore Jean Decourt viennent raconter l’histoire des petits princes et princesses Valois : celle des toutes premières années des célèbres Henri II, François II, Marie Stuart, Henri III ou encore de la jeune reine Margot.
J ai pris plaisir à découvrir ces tableaux , j ai adoré la généalogie du début du carnet qui aide à bien se repérer
J ai préfére ouvrir le livre au hasard plutôt que de suivre le fil des pages.
S adresse aux amateurs d art mais aussi a ceux d histoire.
Et puis joli livre d art a avoir dans sa bibliothèque
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