AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de Mathieu Gabella (157)


Le roi et ses conseillers lancent [...] une campagne dans tout le royaume, marquée par de nouvelles assemblées, pour attaquer le pape et défendre la monarchie capétienne, avant de projeter de réunir un concile pour déposer le pape. Débute une sorte de course de vitesse entre les deux adversaires, Boniface [VIII] préparant de son côté l'excommunication de Philippe.
Commenter  J’apprécie          510
(François 1er à Catherine)
Aaaah, ma bru... Lorsque vous êtes arrivée et que votre cousin, le pape, est mort, j'ai dit que... "J'avais eu la fille toute nue...".
Sans cette alliance, je vous pensais bonne à rien, je le dis tout net.
Mais, j'ai découvert, au cours de mes années, que vous aviez plus de couilles que tous mes officiers. Et encore plus de cerveau.
Pourquoi voulez-vous qu'on vous répudie, alors que vous êtes faite pour régner ?
Commenter  J’apprécie          263
(Messe pour la mort du premier fils de François 1er, les gens murmurent)
- Comment est-ce arrivé ?
- Le Dauphin faisait une partie de jeu de paume... Il a voulu se rafraichir.
- L'eau qu'il avait bu était glacée. D'où le mal qui l'a emporté si vite...
- De l'eau glacée ?! Du poison , oui... Nous sommes en guerre contre l'Empereur!
- Le malheureux qui jouait avec son fils va être jugé. Le roi ne croit pas à son innocence...
- Alors, il n'en restera plus un morceau. Les chiens le finiront après son écartèlement.
- Je ne me risquerai plus à faire un tarot avec Henri...
Commenter  J’apprécie          260
La barbarie est l'état naturel de l'humanité... La civilisation n'est pas naturelle. La civilisation n'est… qu'un accident. La barbarie finira toujours par triompher.
Commenter  J’apprécie          250
Philippe s’éteignit le 14 juillet 1223, après 44 ans de règne, un des plus longs de l’Histoire de France. S’il ne fut pas le roi parfait que les chroniqueurs capétiens ont souvent mis en scène, son règne a abouti à la construction d’un royaume de France d’une taille jusque-là inégalée et au renforcement de la monarchie féodale. Son enterrement fut à la hauteur de son règne : un dernier discours lu à ses fils, leur demandant de rendre honneur à leur mère quand lui-même n’avait pas toujours été un modèle… Les prêtres ne furent pas appelés avant l’ultime instant. C’est entouré de ses proches que Philippe décida de mourir. Aux yeux de la postérité, l’homme, Philippe, a fini par incarner réellement son surnom, Auguste.
Commenter  J’apprécie          241
- Je ne peux pas le croire!
- Croire quoi? Que vous avez dormi sous la glace pendant vingt ans? Ou qu'on ait pissé dessus pour la faire fondre et vous réveiller?
Commenter  J’apprécie          230
- Tu parles régulièrement d'endroits très éloignés d'ici, tu as beaucoup voyagé ?
- Plus loin que n'importe quel homme de ma race. J'ai vu toutes les villes des Hyboriens, des Shémites, des Stygiens et des Hyrcaniens. Je me suis aventuré dans des pays inconnus, j'ai été mercenaire, corsaire, kozak, vagabond, et général... J'ai été tout... sauf roi.
- Un jour peut-être ?
- Roi, moi ? Plutôt crever... Il n'y a pas moins libre qu'un roi.
Commenter  J’apprécie          223
- Eh bien, Charles… On a une révélation ?
- C’est… c’est tellement beau.
- C’est tout un pan de notre Histoire. Napoléon l’a voulu pour célébrer nos soldats au lendemain d’Austerlitz, Louis Philippe en a fini la construction, mais on y a associé le souvenir des soldats de la Révolution.
- La célébration de la République... et de l’Empire.
- La célébration de la France, au final, Charles. L’une et l’autre en dont partie.
Commenter  J’apprécie          212
Mathieu Gabella
L’imaginaire, l’Histoire et la Science. C’est mon triptyque personnel. Et quant on est scénariste, passionné par ses trois sujets, existe-t-il un enjeu plus fort que celui qui anima les médecins de la Renaissance ? A une époque où toutes les merveilles et les horreurs étaient possibles, ils ont lutté contre les dogmes et les peurs pour faire connaître aux hommes les secrets… de leur propre corps ! Avec, au bout de combat âpre et incessant, une bonne chance de finir en prison ou sur un bûcher… C’est ce goût pour le merveilleux et ma passion pour la science médicale qui m’ont conduit à la création du monde de "La Licorne".
Commenter  J’apprécie          210
Il est essentiel que tous ceux qui commandent, du haut en bas, aient une personnalité très marquée, de l’initiative et du caractère. Or ils n’en n’ont pas.
Commenter  J’apprécie          190
On ne peut pas aller plus vite que les hommes. 
Commenter  J’apprécie          194
- C'est un primordial aquatique, non ? Donc elle est sous l'eau...
- Et qui la cherchera dans cette fange ?
- Moi je peux la trouver, vous le savez... Mais pour ça, il faut reconstituer mon corps...
- De quoi il parle !?
- De quoi "elle" parle... Ce n'est pas une femelle, mais pour ce primordial-là, on dit "ELLE".
Commenter  J’apprécie          190
(Boniface VIII): Je crois qu'il se moque ouvertement de moi! Un lopin de terre du nord de la France transformé en diocèse du midi !!!? Un évêque qui me soutient, soumis à un procès laïc ??
(Cardinal): Il y a aussi le Languedoc...
(Boniface VIII): Je sais !! Il s'attaque à nos tribunaux maintenant !!! Qu'on promulgue une bulle. J'ordonne la libération de l'évêque de Pamiers !!! Et je veux qu'on convoque les prélats de l'Eglise de France pour un concile, ici, à Rome !
(Cardinal): L'Eglise de France... convoquée à Rome ? Mais... votre sainteté... nos frères de France ne viendront pas. Ils ont plus peur de Philippe que de nous..
(Boniface VIII): Ils n'auront pas le choix !!! Je déposerai ceux qui ne viendront pas, et je bloquerai la décime. Que ce roi choisisse: son autorité ou ses finances !
Commenter  J’apprécie          180
Arioviste propose un accord de paix et de non-ingérence. Ils procèdent à leurs conquêtes, nous faisons les nôtres... « Leurs » conquêtes ? Qu'est-ce qu'il croyait ? On ne partage pas le monde avec Rome. Car le monde est romain.
Commenter  J’apprécie          180
Il n’y a plus que deux partis en France, le peuple et ses ennemis. Il faut exterminer tous ces êtres vils et scélérats, qui conspirent éternellement contre les droits de l’homme et contre le bonheur de tous les peuples.
Commenter  J’apprécie          180
(homme 1): C'est Enguerrand de Marigny. C'est l'ancien garde du sceau, un homme qui gouvernait le royaume pour le compte de l'ancien roi...
(enfant): Pourquoi on va le pendre ?
(homme 1): Parce que c'est un sorcier, comme les Templiers, mon grand.
(homme 2): Tu parles... un magicien de la taxe, de la décime et de l'expropriation, ouais. Il plaît pas aux princes parce qu'il les a sucés jusqu'à la moelle, voilà tout...
Commenter  J’apprécie          170
- Anerriphtho kybos !
- Il a dit quoi ?
- C'est du grec, il dit... Que le dé soit jeté !
Commenter  J’apprécie          171
[les auteurs] La vérité absolue, incontestable, définitive, n'existe pas en histoire.
Commenter  J’apprécie          171
Balthus avait examiné ses compagnons, des hommes à qui les sinistres nécessités de la vie avaient appris à vivre et à survivre dans ces bois dangereux.
C'étaient des hommes sauvages d'une certaines façon, mais il existait pourtant un gouffre énorme entre eux et le Cimmérien.
Ils étaient des fils de la civilisation retournée à une semi-barbarie. Lui était un barbare
Commenter  J’apprécie          160
Les rois ont souvent souvent cherché querelle aux vicaires du Christ, pour échapper à leur vigilance. Ils n'ont jamais compris que la religion était le pilier essentiel d'un royaume stable.
Commenter  J’apprécie          160



Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Listes avec des livres de cet auteur
Lecteurs de Mathieu Gabella (704)Voir plus

Quiz Voir plus

Lisa-Marie n°3

Avec qui le roi se bat-il généralement ?

Les allemands
Les anglais
Les espagnols
Les russes

9 questions
4 lecteurs ont répondu
Thème : Ils ont fait l'Histoire, tome 1 : Philippe le Bel de Mathieu GabellaCréer un quiz sur cet auteur

{* *}