« Cette raclée ne ressemblait pas aux scènes de bagarre dans les films, où le gars tenait encore sur ses pieds après une centaine de coups de poing. Il savait qu’un ou deux chocs supplémentaires l’achèveraient : trauma crânien, lésions cérébrales. Et puis la peur le submergeait. Attaché à une chaise, prisonnier d’un remake de « Réservoir Dog » avec un malfrat latino et un psychopathe d’Hollywood, il ignorait par quel miracle il ne s’était pas encore pissé dessus. »