Mais quand je vois ces centaines de livres ouverts par si peu de monde, à quoi bon une vie de souffrance (le bonheur, je n'y crois pas) pour figurer par les "écrivains" ? Si 95% des romanciers avaient cultivé des petits pois au lieu de s'échiner sur des ouvrages oubliés aussitôt parus, la littérature n'en serait pas changée d'un iota. "Chateaubriand ou rien." on en revient toujours à ça.
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