Dans les maisons éventrées par les obus ,les hommes avaient parfois le temps de faire un brin de toilette ,à l'aide d'une bassine réchauffée au feu de bois. Certains avaient déjà eu l'occasion d'apercevoir les cicatrices qu'arborait le meneur du duo : quatre impacts de balles lui dessinaient sur la poitrine un collier d'étoiles. ( page 549).