Je compris que rien ne pouvait affecter mon bien-être si je ne laissais pas mes pensées le polluer. Il suffisait de décider et d’agir en conséquence. Je voulais vivre sans cette peur. Peu importait que l’on trouve quelqu’un au bout du chemin […]. J’avais envie d’être heureuse, de profiter de ces moments sans penser au résultat. Savourer chaque seconde dans le plaisir de l’instant, dans la découverte de ce que j’étais, sans dépendance de l’approbation des autres ni appréhension de l’échec. […] J’y allais parce que mon cœur me le demandait et que je souhaitais vivre cette expérience, celle du chemin, celle de faire confiance à la vie.