AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de Maude Royer (57)


Logan St Cyr avait entrevu ce que Nil cachait au fond de ses yeux sombres, et il s’était convaincu que c’était quelque chose de grandiose. De rare. Il se sentait privilégié.
Commenter  J’apprécie          30
De ce cauchemar, il n'était pas prêt de s'éveiller.
Commenter  J’apprécie          20
Combien de fois j'vais devoir te tuer? Neuf fois ? T'étais un chat, dans une autre vie, c'est ça ?
Commenter  J’apprécie          10
Le soleil brillait alors d'un rouge éclatant sur les terres de Rodinia. Les dragons s'étaient éteints depuis longtemps déjà. C'était bien avant que, de souvenir à légende, puis de légende à mythe, l'histoire transforme les cigognes en oiseaux bienveillants.
Commenter  J’apprécie          10
– T’es né ici, pis t’en sortiras jamais, lança-t-il au matelot en le réinstallant à sa place. Mets-toi confortable, t’en as pour un bout. Y’a juste moi qui vais partir, pi c’est pour bientôt !
page 78
Commenter  J’apprécie          10
- Si j'comprends bien, j'vais m'remplir les poches pendant qu'vous allez vous vider la poche ? Ça vous fait jouir d'humilier les gens ?
Commenter  J’apprécie          10
La douleur physique était une forme de délivrance, une souffrance qui finissait toujours par passer.
Commenter  J’apprécie          10
- On ne peut pas savoir qui sera la prochaine, dit la première feuille. Est-il vrai, est-il bien vrai que d'autres viendront à notre place quand nous serons parties, puis d'autres et d'autres encore...
- Cest sûr, chuchota la deuxième, on ne peut pas se le représenter... c'est au-delà de nos capacités. - Ça m'attriste beaucoup , ajouta la première.
Les deux feuilles se turent un moment. Puis la première se dit tout bas : « Pourquoi devons-nous partir... ?
- Que nous arrive-t-il quand nous nous détachons ? demanda la seconde.
- Nous tombons....
- Et qu'y a-t-il en bas ?
-Je ne sais pas. Les avis sont partagés.. mais personne ne le sait.
- Est-ce que l'on sent encore quelque chose, est-ce que l'on est encore conscient quand on est la, en bas ?
- Qui sait? Aucune de celles qui sont tombées n'est encore jamais revenue pour en parler.
Commenter  J’apprécie          00
Allait-il devoir atteindre un tel degré de sauvagerie pour satisfaire sa propre perversité ?
Commenter  J’apprécie          00
Le plus doux des hommes peut se transformer en monstre, du moment qu’on lui donne une raison de le faire.
Commenter  J’apprécie          00
Demeurer oisif de ce monde, c’est déjà être mort de son vivant.
Commenter  J’apprécie          00
-En plus, tu as toujours eu un don pour raconter les histoires.
-La plus abominable vient de me revenir
Commenter  J’apprécie          00
Personne ne peut être tenu responsable de ce qu'il fait une nuit de pleine lune.
Commenter  J’apprécie          00
Il était un roseau. Ballotté dans la pire des tempêtes, il ployait sans jamais se briser.
Commenter  J’apprécie          00
Tu veux que je te tape sur la gueule jusqu'à ce que tu deviennes un génie dans toutes les matières ?
Commenter  J’apprécie          00
Adoptant un air penaud, l'homme ouvrit son parapluie, qu'il plaça au-dessus de sa tête comme si le plafond fuyait.
- Qu'est ce que tu fais ? gronda Patrick. T'es déficient ou quoi ?
- L'amitié reprend rarement son premier abandon lorsqu'elle a été une fois lésée : les jours qui suivent les orages sont ordinairement froids
Sérieux ? grinça Patrick en lui-même. Mais quelle plaie !
- C'est ben beau tout ça, mon Jimmy, mais là y fais chaud et tu m'fais suer. Tu dégages, avant que j't'enfonce ton parapluie dans l'cul.
Commenter  J’apprécie          00
L'ostie d'poulet a tout fait pour m'faire cracher vos noms, mais j'étais plus proche de cracher mes dents. J'suis pas un stool.
Commenter  J’apprécie          00
Les bras de Bernard lui en tombèrent. Son arcade sourcilière rougie bénéficia d'une pause.
Commenter  J’apprécie          00
La pauvreté fait les voleurs comme l'amour les poètes.
Commenter  J’apprécie          00
Dans la classe de français, la tête de monsieur Grégoire lui confirma son intuition. Le professeur, assis sur son bureau, les deux pieds posés sur une chaise d’étudiant, était un homme jeune et séduisant, ex-joueur de football. Il tentait de s’enlaidir en s’imposant le port de cols roulés et de lunettes aux verres en cul-de-bouteille. Efforts inutiles qui n’empêchaient nullement ses jeunes élèves féminines de ce pâmer devant lui.
Dès que le dernier élève de sa liste répondit présent, monsieur Grégoire prit une profonde inspiration, chargé qu’il était d’éclairer quelques lanternes.
- la plupart d’entre vous sont déjà au courant, commença-t-il. Pour les autres, j’ai l’immense regret de vous apprendre que deux de vos camarades, Bernard Leroux est Steve Pelchat, ont été retrouvés morts dans la nuit de vendredi à samedi.
Commenter  J’apprécie          00



Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Maude Royer (712)Voir plus


{* *}