Les choses sont claires : je suis blindé et ce n’est pas une fille comme Doris qui pourrait s’enticher d’un vieux dans mon genre. Je ne suis entré dans son programme de vie qu’à titre intérimaire et à défaut de mieux. C’est bien ce qu’elle disait, non ?
A bientôt soixante ans, il faut savoir prendre ce qu’on vous donne. J’ai pris, je ne regrette rien. Mais alors pourquoi ai-je parfois le sentiment de n’être pas aussi détaché que je le souhaiterais ?