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3.86/5 (sur 394 notes)

Nationalité : France
Né(e) à : Roubaix , le 04/05/1907
Mort(e) à : Le Touquet-Paris-Plage , le 14/01/1951
Biographie :

Maxence Van der Meersch, de son vrai patronyme Vandermeersch, est un écrivain français.

Avocat de formation, il exercera très peu, préférant le stylo à la robe et se consacrera rapidement exclusivement à l'écriture. Son œuvre empreinte d'humanisme et de son propre vécu est consacrée essentiellement à la vie des gens modestes du Nord, sa région natale.

En 1936, il obtint le Prix Goncourt pour "L'Empreinte du dieu" et le Grand Prix de l'Académie française lui fut décerné en 1943 pour "Corps et âmes", succès international traduit en treize langues.

Catholique, il écrivit également des ouvrages à caractère religieux, notamment une vie du curé d'Ars et une biographie de sainte Thérèse de Lisieux (1947).

Son premier roman "La Maison dans la dune" (1932) fut adapté au cinéma en 1952 par Georges Lampin et en 1988 par Michel Mees, avec Tchéky Karyo dans le rôle principal.

Maxence Van der Meersch est emporté par la tuberculose, à seulement 43 ans.
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Source : Wikipédia
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Bibliographie de Maxence Van der Meersch   (27)Voir plus

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La maison dans la dune (1988), extrait.


Citations et extraits (97) Voir plus Ajouter une citation
Le jeune homme s'y sentait plus gai, plus léger, il avait un peu l'impression de n'être plus le Sylvain de tous les jours, mais le Sylvain que, tout petit, il pensait devenir avant que la vie lui eût à grandes bourrades enseigné sa dure loi.
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Savez-vous que personne ne réfléchit plus de nos jours? On n'a plus le temps. Il y a trop de travail, de distractions, de sollicitations extérieures.
p133
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Autour de lui, les masses de feuillages des arbres palpitaient d'une vie frémissante. Quand on fermait les yeux, le chant continu de leurs frondaisons semblait le murmure des vagues.
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C'est effrayant de n'avoir qu'une vie ,de s'apercevoir qu'elle a passé comme un éclair,et qu'on l'a gâchée .
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On cherche tellement à se faire une belle vie qu'on se la gâche sans s'en apercevoir. Pour en profiter vraiment, il faudrait être toujours comme j'étais tout à l'heure, à ne penser à rien, à se sentir seulement vivre. Comme ça, on ne perdrait pas son temps.  (p.148)
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Maxence Van der Meersch
Nous sommes sûrs que, si vous y réfléchissez un instant, vous pourrez vous rappeler un certain nombre de femmes de la classe bourgeoise que vous avez connues personnellement, et qui seraient sans nul doute des prostituées par amour, si l'homme qu'elles ont aimé l'avait exigé.
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L'un des plus grands biens que puisse faire un médecin, c'est une parole de bonté. Il n'y a guère de métier où le cœur de l'homme vous soit à ce point offert.
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La race humaine, elle,se sélectionne à rebours. La guerre ne tue que les robustes. Et la médecine conserve les rabougris.
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"Il est ainsi des coins dont, on ne sait pourquoi, l'aspect vous charme, vous prend sans résistance, vous fait soudainement reconnaître et aimer la beauté. Souvenirs inconscients, rappelés obscurément dans les profondeurs de la mémoire ? Rappel de vieilles images ? Réalisation d'un idéal lentement formé au fond de l'être ?"
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C'était comme un trou noir ouvert devant lui, où il sombrait pour quelques interminables secondes.
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