Je suis désolé, Keeley, mais moi-même je ne me sens pas capable de me priver du plaisir de te toucher. Tu es comme une drogue dont je ne parviendrais pas à me sevrer.
Je comprends très bien tes arguments, mais dès que nos regards se croisent, j'en oublie toute prudence et toute raison. Je sais simplement que si je ne te caresse pas, ou que je ne t'embrasse pas, je deviendrai fou.