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4.29/5 (sur 360 notes)

Nationalité : France
Biographie :

Alexia Maze Perkins est auteure de romance contemporaine chez les éditions Addictives ainsi que de dark romance et de romance imaginaire.

Passionnée de romance et de musique, elle allie ses deux univers dans son premier roman "Arrogant Fake Lover" (2020).

page Facebook : https://www.facebook.com/Alexia-Maze-Perkins-Auteur-103455768288826/
Instagram : https://www.instagram.com/alexia_maze_perkins_auteure/?hl=fr

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Bibliographie de Alexia Perkins   (13)Voir plus

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Citations et extraits (67) Voir plus Ajouter une citation
Chapitre 5 : Agreement

Dix-Mille

«…Cependant, je n’ai aucune solution. De plus, j’ai des affaires bien plus urgentes à régler qu’une pauvre nana qui craint pour ses études.

Sans vouloir te vexer, ce n’est pas vraiment notre problème. Si on devait aider toutes les nanas qu’on baise, on serait vraiment dans la merde, soupiré-je.
— Sauf que tu ne m’as pas baisée, connard, crache la tatouée.
— Écoute, poupée, tu m’as sauvé le cul et je t’en remercie, mais tu vois, je ne suis pas Mère Teresa non plus.
Ashton me fusille du regard tandis que je m’installe plus confortablement dans le canapé. Addison est mignonne, c’est un fait. Mais ce n’est pas pour autant que je vais me casser le cul pour son joli minois. C’est une grande fille et elle semble en avoir assez dans le pantalon pour tenir tête à deux-trois nanas.
Tant que l’affaire ne se tasse pas, nous ne pouvons rien faire. Même si je venais à lancer un message sur les réseaux sociaux, cela ne ferait qu’envenimer la situation. Seul le temps peut l’aider, je suppose.
— Putain, j’y crois pas, s’énerve Addison. Tu te mêles des affaires qui ne te regardent pas et après tu laisses les autres se démerder, tu es vraiment un cas, c’est pas possible !
Je souris en la regardant tourner en rond, elle est plutôt sexy lorsqu’elle s’énerve.
— Oh, pitié, grondé-je, tu étais bien contente que je l’empêche, ce coup, pas vrai ?
— Non, mais sérieux, hurle-t-elle, je ne t’ai rien demandé, connard. Je ne sais pas quel genre de nana tu as l’habitude de côtoyer, mais moi je ne suis pas une princesse qu’on doit secourir.
— Alors, que fais-tu là, princesse ?
Je pense que là, elle est vraiment en colère…»
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Chapitre 3 : The tattooed Girl
Dix-Mille
«…Addison se place entre moi et Walter qui est maintenant au sol, recroquevillé sur lui-même, en pleurs.
– Arrête, tu vas le tuer !
– Je m’en fous royalement !
– OK, Rambo, dit-elle en se décalant, me laissant le champ libre pour terminer ce que j’ai commencé, frappe-le. Gâche ta carrière dans la musique pour un con. Tu crois quoi ? Il est pété de tunes. Demain, il sera au commissariat avec son géniteur et tu finiras en tôle pour les dix prochaines années. Alors vas-y, frappe-le !
Elle vient ensuite se placer devant moi, plantant ses magnifiques yeux dans les miens.
– Ou alors tu es plus mature et tu t’arrêtes là. Et ducon dira à tout le monde qu’il s’est fait dépouiller par des individus masqués dans une ruelle sombre. Pas vrai, Walter ? Connard me supplie d’arrêter et affirme qu’il dira exactement ce qu’Addison vient tout juste de lui souffler.
– Alors casse-toi, crache-t-elle avec dédain.
Walter se lève avec difficulté avant de quitter la ruelle d’un pas pressé. Addison le suit du regard avant de se tourner vers moi.
– Tu t’appelles ?
Je souris, elle ne me connaît donc pas. J’avais déjà détecté un léger accent de la côte ouest tout à l’heure.
– Dix-Mille.
– Je ne suis pas sûre que ce soit un prénom, mais merci, Dix-Mille…»
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Je vois les bleus sur son corps. Je perçois la peur dans son regard lorsqu'il va au lycée. Je discerne ses mains trembler quand il entend un verre tomber ou un bruit inhabituel. Je connais cette terreur, je vis avec elle depuis des années. Je partage sa souffrance, car aussi tragique que soit cette vérité, elle fait écho à la mienne.
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On oublie facilement les rires lorsque les larmes deviennent trop présentes.
Alors que finalement, ce qui compte, c’est les rires, les sourires et l’amour de ceux qu’on aime.
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Chapitre 2 :
Grace
«… Je sursaute légèrement en sentant la main de Gabriel Miller frôler ma hanche, avant qu’il ne murmure à mon oreille :
– Vous avais-je dit qu’ici, nos serveuses restaient anonymes, pour qu’elles ne courent aucun risque ?
Alors que je m’apprête à me retourner pour lui faire face, Miller m’en empêche en maintenant fermement ma hanche. Je suis dos à lui, mes talons faisant que j’égale pratiquement sa taille. Je sens son souffle chaud s’écraser sur ma nuque, déclenchant un long frisson qui part de ma tête pour se répercuter directement dans le creux de mes reins.
– Et comment faites-vous cela, monsieur Miller ? demandé-je, perturbée par cette proximité.
– Ainsi, murmure-t-il en glissant un bout de tissu sur mes yeux. Vous pouvez vous regarder.
Il m’incite à me tourner face à un miroir que je n’avais pas remarqué. Mes yeux sont couverts d’un masque en dentelle noire, c’est juste magnifique. Bien que je me reconnaisse aisément, je doute que ce soit le cas d’une personne qui m’est inconnue ou que j’ai juste croisée quelques fois.
– Maintenant, vous êtes fin prête, mademoiselle O’Brien. ...»
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Chapitre 5 :
Reed
«… Ce soir, j’ai bu, l’alcool me monte au cerveau et, bien que je sois toujours en colère contre lui, je n’aime pas quand il se perd dans les tréfonds de son esprit, je décide donc de le faire sourire.
— Tu te souviens quand on s’est rencontrés ? (il hoche doucement la tête). Je rêvais de te foutre dans mon pieu.
Demain, j’arrête de boire, je le jure !
Il éclate de rire, rejetant sa tête en arrière. Merde, depuis quand n’a-t-il pas ri aussi naturellement ? J’adore son rire, il semble venir de ses tripes et chaque fois, il me fout en PLS.
— Sans blague ? rétorque-t-il avec arrogance. Même un aveugle l’aurait vu, mec.
Je secoue la tête doucement, moi qui pensais avoir été discret, je me suis bien planté.
— Du coup, ce soir, je réalise mon fantasme, déclaré-je, je dors dans ton pieu.
Même si j’ai bu, je sais que je parviendrai pas à trouver le sommeil seul. Je déteste la solitude, elle me rappelle mon arrivée à New York, lorsque je n’avais aucun repère et que je n’ai rien trouvé de mieux à faire que de me faire sucer par Matt - je me demande ce qu’il devient d’ailleurs - et me trouver des excuses pour éviter les auditions dans l’espoir d’être obligé de rentrer dans le Dakota du sud. J’avais le mal du pays en quelque sorte et doucement, la solitude me rongeait.
— Comme hier tu veux dire ?
— M’en fiche, Addi et Amber ne sont pas là, du coup, tant que je n’ai pas retrouvé un Zach bis, je squatte ton pieu.
Il sourit en secouant la tête tout en tirant sa clope.Quand a-t-il allumé une clope ?
— Je croyais que tu ne voulais plus jamais être en couple ? ricane-t-il.
— Je suis con quand je suis sobre. Et puis, je n’ai besoin d’être en couple pour partager le lit d’un mec (j’approche mon visage du sien). À moins que tu préfères que je rende les choses officielles entre nous ? Parce que je compte bien squatter durant toute la tournée. En plus, tu ronfles pas, c’est magique.
Blake a arrêté de respirer, quand j’ai parlé d’officialiser un truc je crois ou quand je me suis approché, je ne sais pas. Nos visages ne sont qu’à quelques centimètres l’un de l’autre et le Reed pas bourré m’intime de reculer avant que je fasse une connerie plus grosse que moi qui le fasse fuir loin, très loin de moi. Le Reed bourré en revanche rêve de coller ses lèvres sur celles de Blake.
Qui prendra le dessus ? La suite au prochain épisode, parce que la porte vient de s’ouvrir, on est enfin libre de rentrer. …»
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Chapitre 2 :
Gabriel
«… Elle détourne rapidement le regard pour observer de nouveau Anna Thomas avant de poser sa main sur l’épaule de cette dernière, un sourire faussement désolé sur les lèvres.
– Je vais donc te donner un conseil, ma chère : utilise ton cerveau avant d’utiliser ta bouche, surtout si tu ne sais pas t’en servir.
Sur ces mots, pour le moins déconcertants, la jolie blonde tapote avec tout le mépris du monde l’épaule d’Anna avant de la contourner pour se placer face à moi. Elle me tend sa main, un léger sourire aux lèvres.
– Grace O’Brien, nous avions rendez-vous pour le poste de serveuse.
Elle avance d’un pas et poursuit sur le ton d’une confession :
– Je préfère vous avertir, monsieur Miller, je ne pratique pas de fellation pour arriver à mes fins, il faudra vous contenter de mon unique talent de serveuse.
J’attrape sa main et la serre délicatement. ...»
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Les nuages cachent les étoiles parfois, pourtant, elles ne disparaissent jamais réellement, contrairement à la douleur. Un matin, tu souffres et puis le soir même, tu comprends que tout est éphémère. Comme les nuages qui cachent les étoiles, rien ne dure jamais éternellement, pas même la douleur.
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Il est arrivé dans ma vie comme un ouragan qui a balayé toute ma lassitude. Il a été un sacré miracle.
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Un jour, on tombe amoureux, on aime à en crever et puis ça s’arrête. On souffre. On a envie de crever, pour de vrai. Mais, en êtres extrêmement masochistes, on se relève. Et on recommence encore et encore. On voit le mur face à nous, mais on accélère, toujours plus vite.
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