Megumi Hazuki

"Mademoiselle se marie" de Megumi Hazuki est une série datant de 2007 dont j'ai découvert aujourd'hui le premier tome en profitant de sa gratuité en édition numérique. C'est l'histoire d'une jeune fille née le 20 août 1989 qui doit épouser le jour de ses 18 ans un jeune homme né le même jour exactement à la même heure qu'elle, car c'est une tradition familiale. Seul problème, mais de taille : le jeune homme en question, un lycéen kidnappé, n'a pas l'intention se se plier aux règles de ce mariage arrangé et cherche à se sauver. Bien qu'ayant reçu des photos de lui à chaque anniversaire et très naïve, Towako constate qu'il y a loin du rêve à la réalité et accepte de l'aider à s'enfuir. Le début de ce premier tome est amusant. Ensuite, on en vient à regretter que ça ne soit pas un one shot même si la mangaka promet des révélations sur le père très marrant, au niveau du graphisme, de l'héroïne, dans le deuxième tome. Mais il y a aussi Setsuna, le frère adopté par les parents de Towako et fou amoureux de Towako qui semble un élément incontournable de cette série, même si Towako ne remarque pas ses intentions. Il vient un peu comme un cheveu sur la soupe alors que le contraste entre tradition et modernité est déjà un sujet intéressant sans avoir besoin en plus de ce triangle amoureux aux relents incestueux. À voir...


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Dans cette histoire nous faisons la connaissance de Towako Gokurakuin, une jeune femme issue d’une bonne famille très à cheval sur la tradition. Elle a donc été élevée sur ces valeurs et a grandi avec certaines croyances. L’une des coutumes de son clan, par exemple, consiste à se marier le jour de ses dix-huit ans avec une personne du sexe opposé née au même moment. Même année, même mois, même jour, même heure. Pour la préparer à cet évènement, notre héroïne reçoit une photo de son futur époux tous les 20 août, jour de leur anniversaire. De cette manière elle a pu le voir changer, grandir et devenir adulte. Elle s’y est également attachée. Ou plutôt, elle a idéalisé cette idée et celui qui lui est destiné. Mais le jour de leur rencontre, rien ne se passe comme prévu. Yûga Takatô, de son nom, ne comprend rien à la situation. On le kidnappe, on l’enferme dans une pièce et on lui parle de mariage arrangé avec une fille dont il n’a jamais entendu parler ? Hors de question ! Et si, en fin de compte, ils n’étaient pas faits pour vivre ensemble ?



C’est dans un concentré d’humour, de vie à deux et de sentiments naissants que nous découvrons nos protagonistes. Vous vous en doutez, Yûga a beau ne pas être emballé détester la situation dans laquelle la famille de sa soi-disante promise l’a mis, il va finir par succomber à son charme. Sans ça, pourquoi Megumi Hazuki aurait fait dix-huit tomes (sauf erreur de ma part — je ne suis pas sûre du chiffre mais on est proches de vingt) ? Je suis contente parce que c’est une histoire qui casse un peu les codes que l’on connaît et qui change. Ici ce n’est pas la femme qui subit le mariage arrangé, c’est l’homme. Et j’ai adoré la façon dont il l’a pris : immédiatement il a dit à Towako qu’elle pouvait toujours rêver, que leur coutume était bizarre, qu’ils n’étaient vraiment pas nets, et il a cherché un moyen de rentrer chez lui. C’était amusant et tellement crédible ! Pourtant, la relation entre les deux personnages va évoluer et on va voir une romance s’installer progressivement. Franchement, c’était attendrissant. J’en redemande, tiens.



De plus, j’ai bien accroché aux graphismes et aux caractères des protagonistes. D’accord, Towako ressemble un peu aux héroïnes dans les shōjos (pas très grande, visage enfantin, cheveux incroyablement longs et soyeux, plus innocente/niaise/nunuche qu’elle ça n’existe pas, touchante à sa manière, déterminée, énergique), mais dans un sens, ça reste plaisant. Yûga, en ce qui le concerne, m’a intriguée. Il a bien plus d’expérience que la jeune femme et semble mature. Les traits de son visage, aussi, apportent un je ne sais quoi qui le rendent encore plus charismatique. Et puis, disons-le franchement une bonne fois pour toutes : qu’est-ce qu’il est canon !



Conclusion, un premier tome introductif et divertissant. Je ne compte plus les scènes qui m’ont fait rire et les situations cocasses dans lesquelles nos héros se sont mis.. Vraiment, c’était une chouette lecture. Si vous êtes à la recherche d’un shōjo mignon comme tout avec des personnages hauts en couleurs, n’hésitez pas. Mademoiselle se marie pourrait vous plaire. (Dernier point et pas des moindres : vous avez vu cette couverture ? Elle est à tomber. Je l’adooore !)
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Le titre aurait aussi bien pu s'arrêter au premier tome pour moi. Celui-ci, même s'il se laisse lire, reprend beaucoup de clichés du shojo que je n'aime pas, entre la fille nunuche, le garçon jaloux possessif un brin malsain, les nouveaux personnages non moins glauques, les situations soient disant romantiques mais limites, etc. Ce n'est pas pour moi et on sent déjà que ça va tourner en rond.

Une romance lycéenne très classique avec pas mal de poncifs du genre.

Tout va très vite, peut-être trop. Dans le premier chapitre, je me suis amusée de la naïveté de l'héroïne et du décalage de la situation de départ qui apportait une certaine fraicheur et pas mal d'humour au titre. Les dessins étaient beaux également.

Par la suite, je me suis un peu plus agacée des ressorts scénaristiques vus et revus et pas très positifs : sentiment amoureux trop rapide, fugue, rival qui tente de violer l'héroïne, etc. Les dessins se sont également fait moins précis.

Il y a mieux.

C'est plutôt pas mal mais à partir du moment où je ne me suis pas attaché à Towako et Yûga c'est plutôt compliqué. Les histoires des familles ennemis se terminent bien grâce à une ouverture mais de l'autre côté ça rame pas mal.

C'est plutôt pas mal mais à partir du moment où je ne me suis pas attaché à Towako et Yûga c'est plutôt compliqué. Les histoires des familles ennemis se terminent bien grâce à une ouverture mais de l'autre côté ça rame pas mal.

Pas mon préféré de ce que j'ai lu récemment. Mais c'était plutôt sympathique cette histoire de se marier avec la personne née à la même heure. Et ceux même ci le reste éloigné des coutumes de la famille.

Mais il me manque surtout de l'attachement aux personnages je pense.

Towako va avoir 18 ans. Depuis toute petite elle est promise à Yûga. Towako vient d'une famille à la coutume un peu particulière, les héritiers de sa famille doivent épouser le jour de leurs 18 ans une personne de sexe opposé née le même jour à la même heure qu'eux. Sauf que Yûga, lui, n'a pas l'air au courant de cela.



Dès les premières pages j'ai trouvé les dialogues légers et pleins d'humour.



Le message sur l'amour et l'apparence que veut faire passer l'auteur est mis en valeur avec beaucoup de tact. J'ai adoré la critique sur les traditions, sachant que la culture japonaise est connue pour en avoir quelques une!



Les illustrations sont justes magnifiques, j'ai trouvé le regard des personnages très expressifs et cela me plaît énormément.



Towako est une jeune fille pleine d'énergie pétillante et rêveuse. Yûga quand à ses paroles regorgent de sagesses.

Ces deux personnages sont très attachants.



Cela faisait longtemps que je n'avais pas lu de manga et j'ai beaucoup apprécié lire celui-ci. Le format est court, il se lit vite. Cela a été une lecture agréable que je recommande.
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Dans ce tome les deux personnages apprennent à se connaitre et approfondissent leur relation mais comme d'habitude l’héroïne avec ses idées du couple et des relations va encore les entrainer dans des problèmes que yuga devra régler.



C'est toujours aussi drôle et permet de se détendre.

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Pas convaincue...



Pourtant l'intrigue est originale... Je dois bien avouer que l'idée d'un homme marié contre sa volonté a quelque chose de drôle et jamais vu pour moi.



Mais je n'ai pas accroché aux graphismes, à l'histoire et aux personnages et c'est bien dommage.



Tant pis !



Bonne lecture à tous.

J'ai beau relire encore et encore cette série de manga, je ne m'en lasse jamais. J'aime Towako, Yuga, leur famille et tous leur amis. Les dessins sont juste magnifiques et tellement bien faits, les couvertures sont époustouflantes. Les personnages, l'histoire... tout est tellement parfait !

C'est grâce à Mademoiselle se Marie que j'aime les shojos tout simplement mais je n'en ai encore trouvé aucun qui puisse battre Mademoiselle se marie.



Un final qui m'a tenu, je voulais savoir qui Towako choisirait-elle définitivement et j'ai été comblée. Triste que ça se finisse mais heureuse que Yuga et Towako puisse enfin vivre leur amour malgré toutes les épreuves qu'ils ont surmontés et j'ai apprécié voir Yuga se démené pour récupérer Towako et montrer à quel point il l'aime réellement !

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Towako fait partie d'une famille très traditionnelle où l'on se marie à 18 ans avec quelqu'un du sexe opposé qui est né le même jour et la même heure que la personne concernée. Notre héroïne reçoit depuis des années des photos de Yûga, son âme soeur.

Le semaine précédent ses 18 ans, elle le recontre enfin. Sauf qu'au lieu de découvrir quelqu'un désireux de se marier avec elle, elle découvre un jeune homme ligoté à une pilier, se demandant ce qu'il fait là.



Bon, pas mal de moments absurdes dans ce manga mais j'ai apprécié la douceur, le romantisme qui s'en dégageait même si comme dans beaucoup de mangas, tout va trop vite!

Yûga qui ne voulait pas se marier, se retrouve vite amoureux de la demoiselle ce qui le pousse à vouloir rester auprès d'elle.

Towako est très naïve, innocente, "sur sa planète" en gros :p mais elle est touchante par son envie d'être aimée et de vivre quelque chose de fort.



Son frère qui n'est pas son frère :p, m'a un peu perturbée :p. On dirait le pervers du quartier qui rôde autour de sa proie, brrr.



Je me demande comment l'histoire va évoluer par la suite. Car nous quittons Towako et Yûga lors de leur lune de miel (et oui, déjà... :p).

A suivre!

Towako a perdu sa mémoire et Yûga fait tout ce qu'il peut pour la protéger même s'il est loin d'elle.



Un tome qui met fin à l'intrigue sur les jeux de pouvoirs des puissantes familles. On sent que la série sera bientôt finie. Il ne reste plus que l'aspect perte de mémoire à résoudre et tout rentrera dans l'ordre (chose relativement attendue dans ce type de lecture).
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Ce gros tome final conclue de jolie façon une histoire extravagante rondement menée avec rebondissements, gags et déclaration d'amour éperdue. La mangaka n'oublie pas de nous donner des nouvelles des nombreux personnages secondaires et nous livre surtout une histoire bonus sur les origines des traditions familiales de Towako.



Une jolie série que j'ai eu plaisir à suivre et qui ne s'étire pas en longueur. A conseiller.
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Avec la perte de mémoire de Towako, Yuga va être obligé de conquérir de nouveau le cœur de son ex-femme. Cela n'ai pas chose aisé pour lui qui a l'habitude que les femmes lui tombent dans les bras. Mais le jeune homme est bien décidé et cela donne un tome très surprenant qui oscille entre des moments tendres et des scènes très humoristiques.

On sens que l'histoire est bientôt finie et la scène finale nous laisse un fol espoir de voir le couple réuni...
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Enfin ! La mangaka a su enfin trouver l'idée qui relancerait l'intrigue. Je ne dévoilerais pas ici ce dont il s'agit mais j'espère bien que ce nouveau fil rouge tiendra ses promesses.

Côté dessin, je trouve qu'elle se perfectionne dans les visages et la communication des émotions.
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Towako quitte la famille de Gokurakuin pour vivre de manière indépendante avec Yuga. Elle espère ainsi que Kyôsuke, le mystérieux jeune homme qui veut absolument prendre le pouvoir sur sa famille, les laissera tranquille.



L'arc du précédent tome se finit ici. Je trouve que l'on commence à tourner en rond et espère que la mangaka saura se renouveler.
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Un nouveau prétendant d'un côté, une ex copine qui réapparait de l'autre... La mangaka n'hésite pas à multiplier les personnages secondaires pour relancer son intrigue. Ça marche pour le moment mais espérons qu'elle saura trouver autre chose...
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