Citations de Melissa de La Cruz (250)
Je ne te quitterai pas. Ne crains pas l'avenir, nous l'affronterons ensemble.
C'était donc ainsi que s'achevaient les histoires d'amour : par une rencontre de hasard sur les marches d'un bâtiment public. Quelques mots polis et rien de vraiment dit, même si son univers touchait à sa fin.
Mais tel était son secret : elle ne s'était jamais sentie seule. Elle avait la peinture, le dessin, l'art et les livres. Elle aimait être seule. C'était la compagnie qui l'angoissait : elle ne savait pas bavarder de tout et de rien, ni interpréter et reproduire les comportements sociaux qui unissaient les gens
[Elle] n'avait jamais été une grande fan de Shakespeare, même de son vivant, mais elle se rappelait les citations importantes. Elle était bien en plein «hiver du mécontentement» .
Il lui avait fait mal, mais peut-être ne blesse-t-on que ceux qu'on aime ?
Mais je l'aime toujours. Tu comprends, n'est-ce pas ? Toi qui attends dans un appartement un garçon qui n'arrive pas.
C'était son meilleur ami, pas un casse-croûte.
se qu'ils disent pas dans le résumé c'est que les enfants des méchants choisissent a la fin leur destiné et ne deviennent pas comme leurs parents grace au nouveau roi et a leur amitié soudé
Nous sommes les loups de la garde, les soldats de la lumière.
Chassés et hantés par les bêtes de la nuit.
Amis de tous et ennemis de personne,
L'amour et la loyauté nous relient en un seul être
Le temps et les marées guériront toutes les blessures,
Les souvenirs et la folie ne nous consumeront point.
Jamais nous ne capitulerons face à la mort et au désespoir,
Jamais nous ne renoncerons, ni ne romprons le pacte.
– Qu’est-ce qui t’est arrivé ? Wes m’a dit que ton histoire étaiit très dure.
– À faire pleurer dans les chaumières ! Il t’a raconté que j’avais un frère ?
– Non.
– Eh bien si. J’ai un grand frère. Patrick. Nos parents étaient des gens bien. De bons citoyens respectueux des lois, pas comme nous, ajouta-t-il en souriant. Ils avaient une licence pour leurs deux enfants. Ils ne voulaient pas d’un fils unique. C’était cher, mais ils avaient les moyens, et ils tenaient à ce que Pat ait un frère ou une sœur avec qui jouer. Un jour, on a frappé à la porte. Il s’avérait que maman avait mal rempli le formulaire : l’autorisation d’avoir un second enfant lui était refusée. J’étais illégal, et je n’avais plus aucun droit à la citoyenneté. Tu sais comment ça se passe : quand les autorités ont du mal à remplir les quotas, elles commencent à chercher des excuses pour faire leur collecte. Qui sait même si ma mère avait vraiment commis une erreur ? En tout cas, ça ne comptait plus : le service du Contrôle de la population était sur le coup. J’avais peut-être trois ou quatre mois, je ne sais pas au juste. Enfin bref, l’agent m’a attrapé et il est reparti vers la porte. Alors, maman m’a agrippé par la jambe et tout les deux se sont battus pour moi sur le balcon. Ils ont tiré, poussé, et à un moment, je ne sais pas comment, le type m’a lâché. Je suis tombé la tête la première sur le béton, bam !
Ils étaient quinze sur le coffre du mort,
Yo ho ho et une bouteille de rhum
La boisson et le diable avaient réglé leur compte aux autres
Yo ho ho et une bouteille de rhum !
Chanson de pirates traditionnelle.
Ils 'envolèrent de la chambre d'hôpital vers les étoiles, et le rire du garçon par-dessus les cimes des arbres.
super livre en esperant qu'il y ait un deuxieme tome
Selon toute apparence, le langage SMS - que des intellectuels du temps jadis avaient comparé aux hiéroglyphes égyptiens - avait été inventé par une poignée de gamins avec leurs portables, peu avant le Grand Gel. Les DBL - divertissements basés sur la lecture - récents étaient tous composés en SMS, mais Nat avait du mal à s'intéresser à une histoire intitulée, par exemple, XCELT LOOOL.
Tous, ils étaient des enfants et des orphelins. Et Slob était le pire de tous, la plus grosse brute de la cour de récréation.
« Elle l’observa en silence, se demandant ce qui se serait passé si le bateau n’avait pas heurté cet obstacle… s’ils avaient réussi à… s’ils avaient… bah, quelle différence ? Au moins, il ne l’avait pas jeté par-dessus bord lorsqu’il avait découvert la vérité sur elle. N’étais-ce pas suffisant ? Qu’attendait-elle de lui de toute manière ? Elle ne pouvait pas se permettre d’avoir des sentiments pour lui, même si elle en avait parfois envie.
Quoi qu’il en soit, elle transporta son maigre bagage dans sa cabine à lui. Il n’y avait qu’un lit. Un lit étroit.
- Hum, Wes ?
- Oui ?
Il retira ses bottes, puis son pull : son tee-shirt fut soulevé au-dessus de sa ceinture, et pendant un bref instant elle aperçut son ventre ferme.
Suite de l'extrait, mon avis et des infos sur le tome 2 ici : http://lecturesdunenuit.blogspot.fr/2015/02/frozen-t1.html
Les cœurs brisés souffrent en silence. Mais les blessures de l’âme, la menthe les panse. La Déesse t’insuffle une vie nouvelle. Retrouve l’amour et tu verras comme elle est belle.
C’était léger. Tout son contraire. Il voyait en elle un aspect que personne n’avait encore jamais deviné. Aux yeux des sang-bleu, elle serait toujours Gabrielle, la Vertueuse, la Responsable, leur Souveraine, leur Mère, leur Salut. Mais pour Bendix Chase, elle n’était même pas Allegra Van Alen, elle était Belles Gambettes. À cette idée, elle se sentait jeune, téméraire et insouciante. Des qualités qui ne convenaient pas à Gabrielle.
Le Bank était un batiment de pierre décrépit situé tout au bout de Houston street , à la limite etre les gravats d'East Village et les régions reculées de Lower East Side. Ancien siège de la vénérable compagnie d'investiment et de courtage Van Alllen, il avait une présence imposante, massive, dans le plus pur style beaux arts : facade à six colonnes, fronton intimidant bordé de dentelures aiguisées comme des rasoirs.
dylan ward
je sais qui est le sang d argent