Les yeux sur le tableau, l était submergé d'admiration. A travers la figure du doge, c'était la condition humaine tout entière qu'avait peinte le maître, dans toute sa fragilité, dans l'espoir de pouvoir surmonter la nécessité, un jour,. Tout était si profondément humain dans ce regard d'homme malade qui luttait pour maintenir sa dignité, dans ces mains, dont l'un aurait pu appartenir à un joueur de viole et l'autre à un portefaix, qui rappelaient que l'homme ne pouvait être qu'insaisissable.