Était-ce si étonnant ? Que lui avait dit Jodi l'autre jour ?Qu'elle courait pour être aussi normal que possible. Luke commençait à comprendre: elle voulait qu'on la voie QUI elle était, et non CE QU'elle était ;elle voulait être jugée sur se qu'elle faisait, et non sur se qu'elle ne pouvait pas faire.
Ce livre raconte l'histoire d'un collégien issu d'une famille en difficulté(mère au foyer, père en prison). Ce collégien c'est Luke, Luke Reid, ce jeune est connue de la police et est même classé Jeune Délinquant Multirédiviste; Luke est un spécialiste du cambriolage, il vole t ce qui l'intéresse. Alors que Luke était sur un bon coup, deux caïd également dans le cambriolage prennent Luke et vole une voiture. Le cambriolage tourne au drame la seul chance pour Luke de s'en sortir est d'aider la fille de l'homme à qui la voiture à été volé. Mis cette fille n'est pas n'importe qui, ... elle est aveugle. Luke devra l'aider à réaliser le rêve de cette fille,... courir le marathon de Londres. Mais Luke va devoir affronter une dernière fois les caïds pour protéger la fille aveugle... Un livre très bien menée et excellent. J'encourage l'auteur à continuer d'écrire des livres comme celui-là. Donc bravo et encore bravo à l'auteur qui à fournit un excellent roman. Je le conseille à tous les adolescents fan de lecture !!
PS: ceci est une critique je me suis trompé.
Ce fut bien plus difficile qu'il ne l'aurait imaginer. À un moment Jodi se mit à serrer trop fort à gauche. Ce n'est qu'en sentant la lanière se tendre qu'il pensa à lui crier : " C'est trop ! Redresse un peu !"
Mais alors l'inverse se produisit : au lieu de suivre la courbe du virage, Jodi se mit à dériver vers l'extérieur. La lanière pendouillait entre eux, complétement lâche. Luke dut faire un écart pour éviter qu'ils se cognent.
Plus à gauche ! glapit-il. Pas trop ! Voilà !"
Petit Hibou était très paresseux. "Il serait temps que tu te décides à voler", lui dit un jour sa maman
Petit Hibou était très paresseux.
"Il serait temps que tu te décides à voler", lui dit un jour Maman Hibou.
"Tu crois vraiment ?" répondit Petit Hibou.
Il n'avait pas la moindre envie de voler.
Battre des ailes, s'agiter...
Tout ça semblait si fatigant !
- Les mains sur les genoux. Maintenant, avance de coté jusqu'à ce que je te dise de t'arrêter. Un pas, deux, trois, quatre. Stop. Redresse-toi.
Lentement, très lentement, je me relève, m'attendant à me fracasser le crâne sur la branche.
Rien. Je suis passé. Tozer a réussi. Il m'a fait traverser.
- Reviens à douze heures.
-Quoi ? Pourquoi ?
La voix de Tozer, aussi dure que d'habitude.
-La leçon n'est pas encore terminée, Barjo.
Max le ferrailleur se mit à faire cliqueter ses chaînes et à gémir.
Hououououuuuuuuuu !
La vieille dame se retourna. Elle ne paraissait nullement épouvantée.
« Ecoutez-moi, grinça Max. Je vais vooouuuuus hanter tooouuuus les jooouuuuurs ! Même le dimanche ! »
- Hé, toi-là ! l'interpella une voix vindicative. Où tu vas, comme ça ?
Micth recula aussitôt en voyant l'occupant de "Jimmy l'unique" bondir sur le quai.
- Du calme, dit Mitch tandis que l'homme s'avançait sur lui en serrant les poings. Je viens voir Brad Stewart.
- Ah ouais ? grinça Boule à Zéro. Et tu t'appelles comment ?
- Mitch Zanelli ? intervint une troisième voix qui fit sursauter Mitch.
Faisant volte-face, il vit une tête surgir du cockpit de Gamezone?
- C'est bien moi, acquiesça le garçon en retenant un soupir de soulagement. Vous êtes Brad ?
- Oui. monte à bord, l'invita-t-il avec un large sourire.
- C'est OK, Jim, je l'attendais, ajouta-t-il à l'adresse d'un Boule à Zéro renfrogné.
ça t'arrive de ne pas piger tout de suite, mais tu sais que si tu fais un effort, tu finiras par comprendre. Moi, je sais que je ne comprendrai rien. Je peux rester assis à le fixer jusqu'à ce que ma tête explose, je sais que je ne comprendrai JAMAIS. (p.196)
- Oui. Se mélanger à des enfants normaux, Margaret. Voilà ce qu'il lui faut...
Je suis donc entré à Ferneham, école gratuite située à un mile de la maison, pour me mélanger à des élèves normaux comme Tozer.
Quand je dis "mélanger", je pense mélanger à la façon dont l'appareil de la Loterie nationale mélange ses boules numérotées. Voilà ce que vous êtes, une boule numérotée, comme tout le monde.
On vous agite, la soufflerie se met en marche, vous sortez en roulant. Et vous sortez avec qui ? Eh bien, c'est ça la loterie.
Donc, Tozer et moi sommes entrés et le mélangeur Ferneham a fait son boulot. (p.25)