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4.05/5 (sur 184 notes)

Nationalité : États-Unis
Né(e) à : Detroit, Michigan , le 17/09/1961
Biographie :

Michael J. Sullivan est un auteur des littératures de l'imaginaire.

Il est né à Détroit dans le Michigan, et a grandi à Novi avant de vivre dans le Vermont, puis en Caroline du nord et enfin en Virginie où il réside actuellement.

Il a travaillé comme artiste commercial et illustrateur et a créé en 1996 sa propre agence de publicité avant de la fermer en 2005 pour écrire à temps plein.

Son premier roman est une autopublication : "La Conspiration de la Couronne" ("The Crown Conspiracy"), sortie en octobre 2008.
Il a écrit deux séries, "Les révélations de Riyria" et "Les Chroniques Riyria", qui seront complétés par une troisième série "Le Premier Empire". Il faut ajouter "Hollow World", son roman de science-fiction publié par Tachyon Publications en Avril 2014.
L'auteur a vu trois œuvres sélectionnées pour le Choice Award Goodreads dans la catégorie Fantasy pour "The Emerald Tempest", "Percepliquis" et The Crown Tower". "Theft of Swords" a été choisi comme l'un des meilleurs titres fantasy pour Barnes & Noble en 2011.

L'auteur américain vit actuellement à Fairfax, en Virginie, en compagnie de sa femme et de leurs trois enfants.
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Source : http://en.wikipedia.org/
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Bibliographie de Michael J. Sullivan   (19)Voir plus

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Citations et extraits (87) Voir plus Ajouter une citation
- Comme tout le reste, le combat nécessite de l’entraînement. Tout peut sembler facile quand on regarde quelqu’un qui maîtrise son sujet, mais on ne voit jamais les heures et les années d’efforts passées à perfectionner son art.
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L’abbé m’a dit un jour que le mensonge était un trahison envers soi-même. Il dénonce notre haine de nous-mêmes. Quand vous être trop honteux de vos actes, pensées ou intuitions, vous mentez au lieu de vous acceptez tels que vous êtes, ou, dans mon cas, vous faites comme si quelque chose avait eu lieu en sachant que c’est faux. L’idée de la façon dont les autres vous voient devient plus importante que votre état réel. Cela évoque ne homme qui préférerait mourir que de passer pour un lâche. A ses yeux, sa vie est moins importante que sa réputation. Mais à la fin, qui est le plus courageux ? L’homme qui meurt plutôt que de passer pour un couard, ou celui qui vie et qui fait face à son vrai visage.
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- Imaginez un peu, poursuivit-il d’un ton rêveur. Ratibor, toute la ville, et tout le royaume de Rhenydd, contrôlé par un conseil populaire, comme Tur Del Fur !
Cette idée fit visiblement mouche auprès d’un grand nombre d’auditeurs.
- Les artisans, reprit le jeune homme, posséderaient leurs propres échoppes au lieu de les louer. Les fermiers seraient propriétaires de leurs terres et pourraient les léguer sans impôts à leurs enfants. Les marchands seraient libres de fixer leurs propres prix et les taxes ne serviraient plus à financer des guerres à l’étranger. Au lieu de cela, l’argent servirait à nettoyer cette ville. Nous pourrions paver les rues, raser les locaux abandonnés et offrir du travail à tout le monde pour ce faire. Nous pourrions élire nos propres chefs de la garde et baillis, mais ils auraient peu à faire, car quel crime y aurait-il dans une ville libre ? Des affranchis propriétaires de leurs terres n’ont plus de raison de verser dans l’illégalité.
- Je serais prêt à me battre pour tout cela, déclara un homme assis avec sa famille près des fenêtres.
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- Seigneur Hadrian, hasarda Renwick. Je me demandais… Je pensais… Est-ce que vous me permettriez de participer aux jeux des écuyers.
- Je ne vois pas pourquoi je refuserais. Est-ce que tu es doué ?
- Non, mais je voudrai quand même essayer. Le seigneur Malness ne me le permettait jamais. Il ne voulait pas que je lui fasse honte.
- Tu es vraiment si mauvais que cela ?
- Je n’ai jamais été autorisé à m’entraîner. Le seigneur Malness m’interdisait de monter son cheval. Il aimait répéter : « Un homme à cheval peut regarder le monde d’une certaine manière, et un freluquet comme toi ne devrait pas s’accoutumer à un tel sentiment, car il ne lui vaudrait que des désillusions. ».
- Ce seigneur Malness devait être devait un être un homme charmant.
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- Princesse Béatrice, prince Rudolf, seigneur Murthas, je vous souhaite un merveilleux hivernal à tous !
Le petit groupe se tourna vers le tuteur, les bras grands ouverts, un sourire joyeux sur les lèvres.
- Je vois que vos avez rencontré notre glorieux invité, le seigneur Hadrian. Je suis certain qu’il est trop modeste pour conter l’histoire de son récent adoubement sur le champ de bataille. Quel dommage, car c’est une histoire aussi fabuleuse qu’excitante. Prince Rudolf, vous l’auriez aimée, et vous auriez pu, en retour, nous narrer vos combats héroïques. Oh ! pardonnez mon étourderie, vous n’avez jamais vu de vrai bataille, n’est-ce pas ?
Le prince se raidit.
- Et vous seigneur Murthas, la mémoire me fait défaut… veuillez nous rappeler où vous étiez lorsque les armées impériales luttaient pour défendre l’impératrice de leur vie. Vous pourrez certainement évoquer vos exploits de l’année dernière, quand vous festoyiez alors que d’autres valeureux chevaliers mouraient pour l’honneur de Son Eminence.
Murthas ouvrit la bouche, mais Nimbus le devança et se tourna vers la femme.
- Ah ! ma dame, je puis vous assurer que vous n’avez pas à vous offenser du mépris présumé du seigneur Hadrian. Je ne suis guère surpris qu’il vous ait ignoré. Il sait, comme nous tous, qu’une dame honorable n’aurait jamais m’audace de s’adresser la première à un étranger, comme le ferait une catin de bas étage pour vendre ses charmes dans la rue.
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Au regard de son esprit, l’Art était une bête majestueuse, un dragon au potentiel sans limite, avide de se libérer, mais cette créature irréfléchie, lâchée sur dans ce monde, causerait un désastre. Elle comprenait la sagesse d’Arcadius et la nécessité de réprimer la passion qu’elle sentait affleurer.
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Étrange, commenta Merrick. Je n’ai jamais considéré les échecs comme un jeu. Pour moi, c’est davantage une religion. Chaque aspect de la vie, concentrée en seize pièces et soixante-quatre carrés noirs et blancs, qui de loin se mêlent en teinte grise. Bien sûr, ce damier est beaucoup plus complexe qu’il n’y paraît. Les carrés plus petits, en nombre égal, forment de plus vastes cadres, et la division peut atteindre deux cent quatre parts. La plupart des gens ne le comprennent pas. Ils ne discernent que l’évidence. Peu d’entre eux ont l’intelligence requise pour aller plus loin, et chercher le motif caché dans le motif. Cela fait partie de la beauté des échecs : ils ont plus que ce qu’ils semblent être : plus compliqués, plus élaborés. Le monde soumis au bout d’un doigt, si malléable, si construit. Les règles sont si simples, mais les chemins sont presque infinis. Pourtant, il n’y a que trois fin possibles.
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[Archibald Ballentyne au régent Maurice Saldur à propos du seigneur Breckton]
Il semblerait que vous ayez négligé sa loyauté infaillible en ourdissant vos manigances, railla Archibald. Mais comment auriez-vous pu en tenir compte alors que vous ignorez manifestement le sens de ce mot ? Vous auriez pu me consulter avant. Je vous aurais prévenus du résultat. Mais c’était impossible, parce que vous complotiez justement pour me poignarder dans le dos.
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Si vous voulez un meilleur empire, vous devez créer un meilleur dirigeant. […] Il nous faudrait un dirigeant puissant et passionné, sans lien avec la noblesse.
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Ne comprenez-vous pas ? renchérit-elle à l’intention de la salle entière. Soit nous nous battons ici et nous gagnons, soit nous mourrons au combat, car il ne restera rien de nous si nous échouons. L’heure a sonné. C’est le moment crucial où va se décider l’avenir des futures générations. Pendant des siècles, les peuples de ce monde repenseront à cet instant et se réjouiront de note courage ou maudiront notre faiblesse.
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