Le corps paraissait enveloppé dans un voile blanc. Armellini crut d'abord avoir affaire à une sorte de gaze, avant de comprendre qu'il avait sous les yeux des milliers de papillons de nuit noyés, pattes et ailes entrelacées ; accrochés les uns aux autres et au cadavre de la fille, ils formaient un genre de linceul et tressaient des guirlandes mortuaires dans ses cheveux.