Citations de Michael Turner (18)
Comme cela arrive souvent, l'histoire se répète. Dans un monde de bonté, le mal prendra toujours racine. Mais ici... à cette époque. Le mal fait son entrée. Et ceux parmi nous qui peuvent... doivent agir. Car s'il y a une chose à retenir de notre passé... c'est que des cendres peut renaître... l'espoir.
Toute cette technologie et toutes ces armes au bout des doigts et vous ne réalisez toujours pas que ce n'est pas une question de puissance de feu, mais d'endurance. Pour vivre dans ce monde, vous avez deux options. Vous pouvez connaître la peur ou vivre dans la peur. Il n'y a rien d'autre... (…) Raser les murs, essayer d'éviter les dégâts en vous taillant une petite place au soleil... Ce n'est pas vivre. On peut à peine considérer que c'est exister.
(Un des méchants).
Tout comme il y avait ceux qui baignaient dans la lumière des temps... Il y avait ceux qui convoitaient le pouvoir et désiraient se l'approprier. Certains disent que le goût même de l'air se mit à changer. Ce qui avait été doux était devenu âcre et amer.
- Ces gens n'en ont donc rien à faire qu'un dragon transforme la côte en barbecue ?
- Lors de telles périodes de désespoir, les gens ont l'habitude d'oublier les temps difficiles en s'évadant dans les films, le sport ou, oui, même la fosse de combat.
- Je parle avec mon esprit. Par la voix, les mots peuvent devenir bêtes ; ils perdent leur sens, mais les pensées sont pures... les pensées sont vraies.
- J'ai vu tellement de trucs chelous ces derniers temps que je devrais m'y attendre.
- Tu peux teinter toutes tes paroles de sarcasme : tenter de me – sans parler de te – convaincre que tu es indifférent à ce qui se passe. Mais tes pensées révèlent la vérité. Elles révèlent que tu te soucies bien plus de ça que de n'importe quoi d'autre dans cette vie.
(Mal avec un des maîtres devant le guider).
Il y a ceux qui disent qu'on peut raviver l'âge des merveilles; que la magie ne peut jamais vraiment mourir et qu'elle veille... attendant... attendant le moment où certains croiront de nouveau en elle et verront le bien qu'elle peut apporter à la terre et à l'univers. La question est... est-ce que toi tu y crois ?
C’est souvent comme ça avec la féerie : l’horreur n’est jamais loin.
Nul ne peut atteindre l'aube sans passer par le chemin de la nuit.
L'eau est la vie.
C'est la où toute vie a débuté. Où ma vie a débuté.
Disloqué... Combiné en quelqu'un d'autre... Disloqué de nouveau... puis rassemblé... Je suis épuisé. Juste épuisé, c'est tout.
Je veux l'impressionner, je veux qu'il me traite comme son égale... Non, il ne traite personne comme son égal. Mais j'ai l'impression d'être une enfant qu'il observe, et je préférerais qu'il me traite comme il traite Kyla : un membre respecté de l'équipe.
- Malikaï.. ? Ça fait encore mal ?
- Oui.
- Il fallait s'y attendre.
- Alors pourquoi demander ? Grace.. ? Ils ont dit que tu étais partie.
- Les gens racontent ce qu'ils ont envie d'entendre. C'est à toi de voir si tu veux les écouter. Viens avec moi, Mal. Nous avons beaucoup à nous dire et très peu de temps pour le faire...
Parfois l'usage de la force brute est le seul moyen de survivre.
Il vient toujours un moment où un disciple doit rompre avec son maître pour suivre sa propre voie.
Deux mondes coexistent sur cette planète. Celui que nous connaissons et celui d'en dessous. Celui que nous connaissons est confortable, familier. Celui d'en dessous est le règne de profondeurs obscures, inhospitalières et terriblement dangereuses. Bien des gens portent un regard myope sur leur existence. Ils se contentent de leur maison, leur voiture, leurs 2 ou 3 gosses, le chien, les repas devant la télé, et un ciné à l'occasion. Ce système fonctionne depuis des siècles : ils ressentent aucun besoin d'explorer ce qui s'étend au-delà de leur petit monde.
- Ça va ?
- Un cauchemar... Celui que j'ai déjà fait, avec mes parents. Il y a un sens, mais je ne sais pas lequel.
- Tous les rêves n'ont pas de sens chéri.
- Celui-là, oui.
Et si je faisais preuve d'honnêteté... ? Toute mon existence, une part de moi a su que ce monde n'était pas le mien... Ce "monde du dessus". Mais, de bien des façons, c'est la seule existence que je connaisse. La seule dont je me souvienne. C'est peut-être pourquoi je suis ici maintenant... parce que je suis une enfant des deux mondes. Sachant ce que je sais désormais, je ne pourrai jamais retourner à ma vie d'avant. Cela signifiera peut-être terrifiant. Mais c'est la seule que je souhaite.
- Pourquoi tu me fixes ?
- Je te fixais ? Désolée, je te regardais, c'est tout.
- Et pourquoi ?
- J'essayais de voir si je pouvais saisir une lueur de ton vrai visage sous ton masque bleu.
- Ce n'est pas un masque.