Pour introduire et accompagner ces trois dernières sonates, j’avais demandé son aide à Gérard de Nerval. Dans son Voyage en Orient, il nous transcrit un conte qu’il prétend avoir entendu à Istanbul lors des soirées du Ramadan, celui de la reine de Saba qui, venue de son lointain royaume rendre visite au roi Salomon, tombe amoureuse de son architecte Adoniram. Celui-ci, incompris, détesté, fait une descente aux enfers.