Préface d'Hervé Bazin
(...) Habituée des dîners Magny et des déjeuners en ville, Edmond de Goncourt n'imaginait pas d'assemblée littéraire avec discussions et débats ailleurs qu'autour d'une table confortable au menu de qualité. La littérature du XIXe siècle ne lâcha la plume que pour la fourchette. Emile Zola prenait volontiers place au fourneau et adorait la bouillabaisse. A Croisset, Flaubert servait à ses invités un turbot assorti d'une sauce mémorable pour Maupassant et pour Goncourt. (p. 11)