J’écris et réécris et réécris encore, comme l’on peigne une longue chevelure encore et encore jusqu’à ce qu’elle soit entièrement démêlée. Et je n’écris pas linéairement, du début d’une histoire à la fin. En réalité, quand je commence à écrire, j’ai une ambiance en tête et les séquences qui s’y insèrent me viennent au fil du temps dans le désordre.