j'ai souhaité quant à moi décrire la révolution comme une ligne brisée, avec d'innombrables ruptures. Telle une consommation d'alcool entraînant d'abord une ébriété heureuse, puis une ivresse dangereuse, et se terminant parfois par une amnésie ou une gueule de bois.
Il n'est pas question non plus de réduire l'histoire de la Révolution au rôle de l'alcool. Plutôt que d'une réduction, on peut utiliser une autre métaphore culinaire et parler d'un plat arrosé, en décrivant des événements où l'alcool ajouté à fait flamber les têtes.