Je pense à Thomas. Au moment où j'écris ces lignes, j'aimerais l'imaginer heureux, débarrassé de ce voile qui assombrit ses yeux. J'aimerais l'imaginer le souffle reposé, à même de s'attendrir, un peu, sur lui-même.
Qu'il prenne enfin soin de sa vie et de ses rêves, s'il lui en reste.
Éteindre, maintenant.
Cette nuit, la ville semble tranquille et n'a pas besoin d'un veilleur.