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Critiques de Michel Leboeuf (7)
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Paroles d'un bouleau jaune

Un livre des plus intéressants! Il reste dans ma bibliothèque à coup sûr.



J'ai adoré la forme unique de cet ouvrage, soit une conversation avec un arbre. De plus, cet arbre, il en a des choses à dire et à raconter.



On remonte jusqu'à la création de la vie sur Terre à maintenant, où les humains sont complètement déconnectés de la nature.



Bien que ce livre n'apporte pas de solution, il donne de belles pistes de réflexions sur l'espace où l'on se situe dans la nature et à côté de nos amis les arbres.



Je recommande fortement cette lecture!
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L'homme qui n'avait pas de nombril

Que disait les Éditions Michel Quintin que c'est "un thriller psychologique aux confins de la science; une descente aux enfers dans l'univers glauque de l'expérimentation médicale, pour le meilleur et pour le pire" . Pour le pire selon, pour ce qui du thriller psychologique on passera. C'est tellement long à partir il faut attendre près deux cents pages avant de finalement commencer si on appelle cela commencer. Sur les deux cents pages Philippe Norel n'arrête pas de parler de lui à la première personne tellement que j'aurais aimé d'avoir la voix à d'autres personnages plus intéressant. Le roman est ennuyant au possible à part qu'il n'a pas de nombril. Pour ceux intéresser à des personnages sans nombril il y a l'excellent roman de Phillipe Cavalier Les Ogres du Gange qui en fait mention (c'est une tétralogie historico-fantastique à lire absolument).
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L'homme qui n'avait pas de nombril

Philippe Morel est née avec une anomalie des plus étrange; il n'a pas de nombril. Plus étrange encore, Philippe adore tué les mouches en les brulant avec une loupe.

Je n'ai pas particulièrement aimé ce roman, écrit étrangement et où il n'y a pas d'histoire intéressante. L'intrigue commence à être intéressante dans les cinquante dernières pages, même si la dite intrigue est plutôt mince. Idéal lorsqu'ont a besoin de ne penser à rien ou pour les lecteurs débutants.
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Grande vitesse ferroviaire

Ce livre est une véritable référence pour toute personne qui s'intéresse de près à l'économie des transports en général et à celle des chemins de fer en particulier. Il sera aussi particulièrement recommandé aux cadres et ingénieurs, jeunes et expérimentés, qui travaillent dans le secteur ferroviaire En effet, comme le titre pourrait ne pas l'indiquer, Grande Vitesse Ferroviaire est davantage un ouvrage d'économiste que d'ingénieur. En effet, ce sont surtout les aspects économiques, sociaux et commerciaux qui sont y sont abordés. Les férus de technique n'y trouveront pas d'explications détaillées sur la conception du matériel roulant, les choix de génie civil ou les technologies de signalisation embarquée. Cependant, ces sujets sont quand même évoqués car le transport ferroviaire est un secteur d'activité éminemment pluridisciplinaire.

Le livre est découpé en 12 chapitres cohérents et pédagogiques. La rédaction est claire et la lecture agréable.

5 étoiles sans hésiter.
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Lueurs dans la nuit

J'ai trouvé ce recueil de nouvelles littéraires d'un ennui mortel. Absolument rien de fascinant ni qui soit digne de mention dans les chutes des nouvelles ni dans les sujets traités.
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L'homme qui n'avait pas de nombril

L'histoire de ce personnage sans nombril est étrange, c'est vrai, mais il faut bien réaliser qu'elle fonctionne à plusieurs niveaux. Premier niveau : l'histoire telle que racontée par le narrateur, au je, dans les dédales de son passé. Second niveau : la déconnexion du personnage d'avec son entourage, sa mère et ses semblables du fait qu'il n'a pas été lié à eux par un lien organique (il n'a pas de nombril, donc pas eu de cordon ombilical). Troisième niveau : la déconnexion des humains avec leur environnement. Moi, je trouve que c'est un roman brillant. Qui prend lentement son rythme, oui, mais je pense que c'est voulu par l'auteur : le livre est d'ailleurs divisé en trois sections rappelant la vitesse de plus en plus accélérée d'une pièce musicale : adagio, moderato, prestissimo. À la fin, on ne peut plus décrocher. La fin de l'histoire annonce une suite. C'est chose faite : elle a été publiée en avril 2014 (ça s'intitule L'homme qui n'avait pas de nombril - alter ego) et c'est aussi bon, sinon meilleur que le premier.
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L'homme qui n'avait pas de nombril

Dérangeant, différent : voilà comment j'ai trouvé ce roman. L'étrange motivation du personnage principal, ses actions, son passé, sont la trame de fond psychologique de cette histoire. Lucide, un brin philosophique sur la place de l'humain. L'auteur n'hésite pas à faire un clin d'œil à Albert Camus par une citation en entrée de roman et le fait que la mère du personnage principal meurt dans les premières pages, comme dans L'Étranger. C'est le premier tome d'une suite de trois romans qui portent le même nom, mais avec des sous-titres différents. Tome 2 = Alter Ego, tome 3 = Alma Mater. J'espère que les deux autres seront à la hauteur du premier.

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