Par la modestie de ses sujets pris dans son univers quotidien et par l'amour de sa ville, on a pu rapprocher Sudek d'Atjet : comme chez ce dernier, les lieux photographiés sont vides de toute humanité. Mais cette similitude est trompeuse car si l'homme est absent de la scène, l'image floue incarne la subjectivité du regard, témoignant ainsi de sa présence silencieuse.