Il faut rendre grâce à Noureddin de n'avoir pas mis à profit l'état d'affliction du royaume pour déclencher une offensive qui nous eût peut-être rejeté à la mer: il avait gardé son estime à ce rival malheureux. L'adversité, à la longue,quand elle ne s'accompagne pas de mauvaise foi, peut engendrer respect et sympathie. L'esprit chevaleresque n'est pas le privilège exclusif des occidentaux.