Je savais le père sensible aux signes invisibles de la nature. Il y décelait les odeurs de terre en mouvement. Ces palpitations vitales, ces soupirs d’impatience, ces reptations avides, ces frissons de renouveau... tout ce qui révélait la vie en marche. A travers mille indices, ses fibres paysannes et leurs gènes inflexibles le guidaient.