A présent, Manh rejoint seul sa voiture tandis que la précoce manifestation de la mousson d'été tache de larmes sa chemisette couleur sable. Et lui reviennent, avec d'autres souvenirs, l'arôme de la rizière assoiffée sous ces gouttes et celui de la route brûlante comme un toit au crépuscule. (p. 171)