Il me taquinait volontiers au sujet de mon seul et unique roman paru quelques mois plus tôt et pour lequel, à mon grand étonnement, j’avais connu un accueil presque enthousiaste. Du public autant que de la critique, ce qui est plutôt rare. Il l’appelait « L’œuvre d’une vie » ou « le chef-d’œuvre immortel de Fenimore Cooper » en empruntant la voix de l’acteur qui, dans notre enfance, avait annoncé, à la télévision, la traduction française du Dernier des Mohicans…