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3.69/5 (sur 780 notes)

Nationalité : Grèce
Né(e) à : Rome , le 17/01/1939
Biographie :

Michel de Grèce, prince de Grèce et de Danemark, est un écrivain de langues française et anglaise ainsi qu’un historien.

Il est le fils unique du prince Christophe de Grèce (1889-1940) et de sa seconde épouse, la princesse française Françoise d’Orléans (1902-1953).

Son père meurt l'année de ses deux ans. Il passe son enfance entre le Maroc et l'Espagne avant que sa mère ne vienne vivre à Paris où elle meurt en 1953.

En 1960, Michel de Grèce obtient, à Paris, un diplôme de Sciences politiques. Une fois ses études terminées, il s’engage dans l’armée grecque, où il sert quatre années durant.

En 1965, il épouse Marina Karella, la fille d'un industriel grec, une artiste peintre, aquarelliste et sculpteur dont il aura deux enfants. Le couple s’installe aux environs d’Athènes et c’est durant ces années que Michel de Grèce commence à écrire.

Au début de la Dictature des colonels, Marina et Michel sont les seuls membres de la famille royale de Grèce à recevoir l’autorisation de rester vivre dans leur pays. Le couple choisit cependant de quitter la Grèce en 1972 et s’installe alors à Paris avec ses deux filles. Puis, en 1980, ils émigrent à New York où ils restent pendant 13 ans.

Son premier ouvrage "Ma sœur l’histoire, ne vois-tu rien venir ?" reçoit le prix Cazes en 1970. Mais c’est surtout grâce à ses nombreux romans historiques, fortement inspirés par son histoire familiale, que le prince parvient à se faire connaître.

Il vit avec sa famille entre Monaco, Paris, Athènes, Patmos.

son site : http://www.princemichaelschronicles.com/?lang=fr
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« […] toute chose vraie est prophétique et inonde son temps de lumière, et c'est à la poésie qu'il incombe de répandre cette lumière ; c'est pourquoi l'esprit ne doit et ne peut surgir qu'à travers elle. L'esprit ne surgit qu'à travers l'inspiration… » (Bettina von Arnim, Begeisterung) « Hölderlin (1770-1843) a seize ans. […] déjà, c'est de poésie surtout qu'il se nourrit […]. […] ce sera toujours immédiatement, antérieurement à toute réflexion, à tout vouloir, au désir même, que le monde bourré de sa charge de sacré l'assaillera, indubitable, indéchiffrable. […] […] Hölderlin méditera longtemps, et avec quelle profondeur, sur la Grèce ; mais il ne l'aurait pas fait, ni de cette manière, s'il n'avait été d'abord emporté, ravi (au sens le plus fort). […] » (Philippe Jaccottet, avant-propos) « […] Jamais peut-être la haute tristesse méditante n'a été si magnifiquement exprimée. Parfois ce génie devient obscur et sombre dans le puits amer de son coeur ; mais le plus souvent, son apocalyptique étoile Mélancolie brille, merveilleusement touchante, au-dessus de la vaste mer de ses émotions. […] » (Clemens Brentano à Philipp Otto Runge, le 21 janvier 1810) « […] je parle comme quelqu'un qui a fait naufrage. On est alors porté à conseiller aux autres de rester au port jusqu'à l'arrivée de la saison propice au voyage. J'ai de toute évidence voulu m'élancer trop vite, j'ai aspiré trop tôt aux grandes choses, et je l'expierai sans doute tant que je vivrai ; il est peu probable que je réussisse parfaitement en quoi que ce soit, faute d'avoir laissé mûrir ma nature dans la tranquillité d'une modeste insouciance. […] » (Friedrich Hölderlin à son frère, Francfort-sur-le-Main, le 12 février 1798, traduction par Denise Naville) « Durant toute la première moitié de sa vie, Hölderlin est resté presque inconnu ; la démence, durant la deuxième moitié de cette vie, l'a maintenu dans une étrange absence où, du monde des hommes, il ne voyait plus que les images des saisons. […] » (Philippe Jaccottet, avertissement) « […] […] Il affirme que la source de la sagesse est empoisonnée aujourd'hui, que les fruits de la connaissance sont des noix creuses, une tromperie. […] » (Fragments de l'entretien du menuisier Zimmer avec l'écrivain Gustav Kühne, qui rendit visite à Hölderlin au cours de l'été 1836) « […] C'est ainsi : qui hante de trop près les dieux, ils le condamnent à la misère. […] » (Bettina von Arnim, Die Günderode, 1840) 0:00 - le Laurier (poème) 0:18 - Lettre à Neuffer Hypérion ou l'ermite De Grèce : 0:57 - 1er extrait (Hypérion à Bellarmin) 1:45 - 2e extrait (Hypérion à Bellarmin) 2:29 - 3e extrait (Hypérion à Bellarmin) 2:56 - 4e extrait (Hypérion à Bellarmin) 4:24 - 5 extrait (Hypérion à Bellarmin) 5:14 - Lettre à son frère 5:46 - Lettre à Johann Gottfried Ebel 7:05 - Lettre à Neuffer 7:22 - Lettre à son frère Empédocle : 7:54 - La mort d'Empédocle (extrait) 8:11 - Lettre à Suzette Gontard Période des grands poèmes : 8:57 - Vocation du poète 10:14 - le pain et le vin 11:25 - L'archipel 12:13 - Comme au jour de repos 13:51 - L'esprit du Temps 14:18 - Générique Référence bibliographique : Friedrich Hölderlin, Oeuvres, édition publiée sous la direction de Philippe Jaccottet, Éditions Gallimard, Bibliothèque de la Pléiade, 1967 I

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Citations et extraits (46) Voir plus Ajouter une citation
Un soir de novembre, l'ordre laconique fut apporté par le Kizlar Aga : il apparut, laissa tomber un mot, un seul, mon nom : Nakshidil. Ce fut une explosion de joie de la part de Vartoui qui convoqua aussitôt les instances féminines du Harem, la Maîtresse des Robes, la Gardienne des bijoux, la Gardienne des Bains et même la Grande Trésorière, sa rivale détestée. Heure après heure, elles se succédèrent autour de ma personne et dirigèrent les opérations qui leur incombaient.
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La réalité mexicaine n’est jamais d’un seul tenant. Formée d’éléments contradictoires ficelés Dieu sait comment, elle échappe à toute unité, à toute unanimité, et demeure sujette aux opinions les plus opposées, dont seulement l’addition permet de la cerner.
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- Je l'ai toujours dit, Reine ! Le seul homme parmi nous, c'est toi !
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Les baigneuses m’enseignèrent ensuite les divers rites du bain turc dans une confusion de rires, d’appels et d’exclamations. Je fus successivement soumise au bain de vapeur pour nettoyer la peau – je crus étouffer – puis aux jets d’eau froide qui fouettent le corps – je me tordais sous cette douche glacée – puis aux jets d’eau chaude, pour activer la circulation, et enfin au massage à l’huile parfumée – je gémissais sous les coups de battoir des masseuses expérimentées, je croyais qu’elles allaient me rompre les os.

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- La grande révolte de l'Inde est en passe d'échouer, elle a déjà échoué. Je n'ai pas voulu y participer, les Anglais m'y ont forcée. Elle est devenue ma cause et c'est une cause perdue.Tout de même, cent cinquante millions d'Indiens contre quarante-cinq mille Anglais !
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- Non pas maintenant , je suis trop énervée
Il l'a rattrapa, se jeta avec elle sur les coussins et commença à lui arracher ses vêtements . Elle se débattait, se tordait en tous sens, le griffait mais sa résistance céda, elle se laissa déshabiller et caresser puis elle l'attira vers elle et l'enserra doucement dans ses bras
Plus tard, il tourna la tête et posa sur elle ses yeux bleus et rieurs.
- Je t'aime, je t'admire, c'est pour cela que je veux que tu sois la meilleure toujours.
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Bientôt il revient et silencieusement emmène Charlotte dans le bureau où Pie IX est en train en effet de prendre un repas frugal. Charlotte le salue à peine et se rue sur la tasse de chocolat fumant qu’il vient d’entamer. Elle y trempe ses doigts et les suce : »J’ai tellement faim, je n’ose rien prendre, ils veulent tous m’empoisonner. »
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- Alors l'Histoire me jugera bien mal. Au fait, que dira-t-elle de moi?
- Rien, Madame. La postérité ne sera rien de vous. Ceux qui ont vraiment su qui vous étiez sont morts. Les autres ne font que le soupçonner. Il y aura des rumeurs, peut-être des romans. Quant au Sérail, vous resterez pour lui la Kadine Nakshidil, et votre mémoire y sera honorée comme telle. L'influence connue d'une Française y serait une anomalie, pis, une hérésie. Aimée Dubuc n'aura jamais existé, ne pourra pas avoir existé.
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Finalement, elle (la pierre) fut léguée au Smithsonian Institute où elle est aujourd'hui exposée. Le Diamant Bleu ayant été volé à l'Etat français et l'instruction du cambriolage du Garde-Meuble n'ayant jamais été close, on peut en toute bonne foi considérer la vénérable institution wahingtonienne coupable de recel, et le gouvernement des Etats-Unis complice de ce recel.
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J'ai tellement adoré ce récit, que je l'ai prété a plein de personnes et la derniere ne me la pas rendu!! et je ne me souviens plus qui est-ce!!! quelqu'un peu me transmettre l'editeur afin que je puisse le leur commender! merci
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