Michèle Angelvi, une philhellène, a publié en été 2009 son premier roman : « J’ai rêvé la nuit bleue », qui se situe en Grèce, dans le Péloponnèse.
Après une licence de Lettres à Bordeaux III, elle a obtenu une bourse de recherche à Athènes (en littérature comparée) pour une maîtrise (sur Séféris), puis un doctorat (sur Elytis). Elle y a finalement vécu vingt ans et traduit des livres (du grec vers le français).
Je la regardais rêver aussi, essayant de percer le mystère qui s'accomplissait en elle, lorsqu'elle fermait les yeux et sombrait dans cet au-delà. Je veillais sur son sommeil, comme le gardien de ses rêves, voulant la protéger des cauchemars qui la hantaient encore parfois.