Cette nuit-là….Les soucis, le manque de pain, ça bouffait le désir et la joie .L’espoir né des dix derniers jours, dont la fête a révélé l’ampleur (…) Embrasse-moi, camarde ! Aime-moi camarade !(…) C’est une grande soif de bonheur, c’est la joie de ce bonheur enfin trouvé, Et Paris s’endort dans ces souffles haletants.