Il est vrai que si nous avons conservé dans notre pharmacopée les bienfaits de la plupart des plantes – en en rejetant toutefois certaines qui pouvaient dangereusement nuire au lieu de guérir –, nous ne pourrions néanmoins résister aux méfaits d’autres composantes ! Parmi les ingrédients préconisés, « pétrole », nitre, vipères, fientes diverses ou bave de crapaud sont prêts à nous faire apprécier sirops amers, piqûres ou roulette de dentiste, tout en remerciant la médecine d’avoir progressé pour notre bien-être.