Les langues sont allées bon train quelque temps.Puis elles se sont tues.Le silence a toujours le dernier mot.Cette idée m'a semblé terrible.Les Odile n'allaient pas disparaître ainsi,dans l'indifférence qui ,tels les ronces et les lierres dévorant le château et le parc,comme jusqu'au souvenir de ceux qui ont disparu.