- Tu veux bien frapper à gauche la prochaine fois? demanda-t-il d'un ton ironique. Je n'aimerais pas que tu me casses une dent... Je pourrais en avoir besoin pour le petit déjeuner.
- C'est à l'envers, vampire, dit-elle alors qu'il vérifiait la fermeture de la porte.
- Non, se défendit-il.
-Si. Tu es censé être de l'autre coté de la porte.
_ecoute sorciere tu peut rengainer ton flingue je suis un gentil, moi
_les gentils buveurs de sang, ça n'existe pas un bon vampire, c'est un vampire mort
C'était un juste châtiment pour ses péchés - pour avoir prêté son âme et tué des innocents. Et c'était une douleur qu'elle allait hurler vers le ciel pour que les anges la craignent avec raison.
Deux mois auparavant, une tueuse avait abattu Nikolaus Drake.Cette tueuse, sorcière au regard chargé de mort, était une Vigilante, dont le sang rongeait les chairs de ses ennemis. Touché à mort Nikolaus s'était effondré, la respiration coupée, puis son cœur avait cessé de battre.Un vampire n'est pas censé survivre au contact mortel du sang de sorcière, mais la chance ce jour-là était du côté de Nikolaus.
Tu n’as aucune idée de ce que j’ai
souffert pour renaître d’un tas de chair à moitié calciné.
Un vampire ne guérit jamais complètement de votre
cocktail de mort…
— Tu vas me faire pleurer… Lâche-moi, pour qu’on
règle ça au poignard et au pieu.
Sans sa mémoire, Truvin n’était pas en sécurité dans les rues. Il était sans doute assez fort pour ce défendre si on l'attaquait. Enfin peu-être...Il y avait des sorcières engagées et un prête cinglé a ses trousses. Surtout, Truvin n'avait aucun moyen de reconnaître ses ennemis.
Il avait besoin que quelqu'un le protège.
-Et tu crois pouvoir le faire ? demande Lucy à son reflet dans le miroir.
Elle leva les bras pour examiner les bleus que lui avait laissés l'airbag. Une autre forme de protection
L’amour était fait pour les gens capables de se soucier des autres.
D'après les rumeurs, les gens qui s'aventuraient dans la Forêt Noire n'en ressortaient pas. On racontait même qu'aucune biche, aucun écureuil, aucun animal d'aucune espèce ne fréquentait les profondeurs de ces bois ténébreux où régnait le mal.
La tueuse allait chasser trois soirs
par semaine : le mardi, le jeudi et le samedi