Je n'ai jamais vraiment aimé la série des "Angélique", découverte trop tard à mon avis pour ne pas tiquer sur le sexisme qui s'en dégage. J'imagine que si je les avais vus petite fille, j'aurais adoré cette héroïne flamboyante qui vivait des aventures extraordinaires, tout ça dans des débauches de belles robes et de beaux décors. En grandissant, j'ai été amenée à étudier les histoires de cape et d'épée et d'amour, et je n'ai pas pu faire l'impasse sur cette série. Je me suis aussi penchée sur la vie de l'actrice qui incarnait cette Angélique que je trouvais au détour de toutes les pages. En fin de compte, j'ai découvert que la vraie héroïne, c'était peut-être finalement elle, qui a dû déployer des trésors de courage et de patience pour se faire un chemin bien à elle dans un monde (le cinéma des années 60) dominé par des hommes qui ne lui ont jamais fait de cadeau. Désormais je regarde les "Angélique" d'un autre œil, et j'apprécie que ces films aient pu être produits et pousser des femmes à chercher elles aussi leur propre destin.
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La comédienne raconte ses souvenirs dans un livre écrit avec Henry-Jean Servat "Je ne suis pas Angélique" et se prête donc au jingle "marionnettes". Originaire d'une importante famille niçoise, elle commence par être petit rat à l'opéra de Nice. Danseuse à ses débuts, elle rencontre Denys de la Patellière aux studios de la Victorine et fait un film avec lui qui la rend célèbre En 1964, elle tourne "Angélique marquise des anges" mais malgré le succès phénoménal de la série, elle ne touchera qu'une somme minime. Un livre préfacé par Robert Hossein, avec lequel elle .s’est réconcilié suite à une dispute née de la version théâtrale du film Angélique.
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Un livre décévant. Pas bien écrit et sans intérêt. Du temps perdu.
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