Toujours, le point de vue des contemporains est toujours privilégié afin de restituer au mieux la réception d’une catastrophe en prenant en compte l’initiative et la responsabilité humaine – une responsabilité qui peut-être collective, mais qui souvent, particulièrement dans les temps contemporains, incombe à des hommes de pouvoir – économique ou politique. Il nous a semblé nécessaire de faire face à la réalité d’une déshumanisation qui menace la planète et les populations dont la lutte pour la survie peut désespérer le reste d’une humanité qui s’estimeimpuissante face à l’énormité des défis actuels