p. 138, c’est Clara qui parle :
« Les journées se succédaient à l’école, sans que rien ne les distingue les unes des autres, sauf le nom de l’élève qui se faisait prendre en train de voler de la nourriture ou qui essuyait les foudres de sœur Mary. Un matin, alors que la lumière pâle du soleil entrait à flots par la fenêtre du dortoir, Clara ouvrit les yeux, mais ne bougea pas, refusant de quitter la chaleur du lit pour affronter les courants d’air du dortoir et le lino froid sous ses pieds. »