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3.5/5 (sur 8 notes)

Nationalité : Canada
Biographie :

Michelle Labrèche-larouche a toujours aimé la musique et l'écriture. Elle a étudié le piano toute son enfance et publié son premier reportage en 1964 dans le magazine Châtelaine.

Il y aune vingtaine d'années, elle y a été engagée à plein temps comme recherchiste, journaliste et responsable de diverses sections. Elle est actuellement responsable de la chronique « Arts et spectacles ».

Dans les années soixante-dix, elle a aussi été quelque temps rédactrice en chef du magazine Montréal ce mois-ci qui, entre autres, recensait les événements culturels les plus intéressants de la métropole.Elle a donc réalisé de nombreuses interviews avec des artistes.

Elle connaît bien le milieu du théâtre au Québec et s'intéresse à la scène lyrique.

Source : www.editionsxyz.com
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Bibliographie de Michelle Labrèche-Larouche   (2)Voir plus

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Citations et extraits (30) Voir plus Ajouter une citation
Niko avait le don de me faire vite monter au ciel en me caressant partout avec sa bouche, d’abord de douce manière, puis par des attouchements lents et insistants, tournant autour de mes seins, de mon ventre, de mes fesses et de mon sexe. Je le suppliais pour qu’il me libère de ce désir insupportable, qui ne demandait qu’à être apaisé. Côté cris, j’étais plus discrète que lui au début de nos ébats. Cela ne durait pas. Très vite, je le précédais dans l’extase. Je ne sais pas à quel âge il avait eu sa première blonde, mais il était expert en corps des femmes.
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La papillonneuse a aimé. Un peu, beaucoup, passionnément. Mais, la plupart du temps, elle s’est attachée à des hommes sans possibilité d’engagement. Ici et ailleurs. Ce qui arrangeait bien la papillonneuse éprise de liberté. À la fin d’un voyage, elle les quittait à son cœur défendant, consciente que cela s’arrêterait là pour cause de circonstances. Mais, par la suite, elle leur envoyait des messages d’amour enflammés comme si c’était parti pour le reste de leur vie. Les papillons y répondaient. La papillonneuse n’en était pas à une contradiction près! Et si ce n’était que pour prolonger l’état du sentiment amoureux?
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Déjà petite fille… Être un électron libre m’a parfois coûté cher, mais l’exploratrice de tous les aspects de la vie qui est en moi ne regrette rien. D’autant plus que j’ai le soutien de ceux que j’aime et qui m’aiment. La curieuse du monde n’est pas près de changer, semble-t-il. En fin de compte, jusqu’à maintenant, toujours pour le meilleur.
J’ai voulu partager mes expériences, amoureuses et autres, avec vous. Ce sont celles qui m’ont le plus marquée. Lesquelles, avec le temps, sont devenues des tranches de vie qui m’attendrissent, m’amusent ou me révoltent.
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Le mariage fut trop contraignant pour la fille éprise de liberté que j’étais. Nous avons divorcé. Il y eut l’avant et l’après-mariage. Ainsi, selon moi, il ne me restait plus que ma beauté, ma séduction et ma sensualité débordante pour me bâtir une vie sentimentale. De là à devenir la femme-fatale-trophée idéale, il n’y avait qu’un pas. Va pour la fête et la bagatelle, mais le cœur ne suivra pas nécessairement. Trop risqué! Porteur de malheurs. Papillonner sous prétexte de liberté, cela passait très bien dans le milieu d’électrons libres où j’évoluais.
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C’était le genre d’homme capable d’accéder à un amour noble et total. Il avait de ces gestes affectueux qui rendent les paroles inutiles. Au lit, il était d’une immense douceur et d’un grand respect. Pas très audacieuses, ses caresses étant plutôt imprégnées de la chaleur du cœur. Aucune fougue, mais un intérêt qui ne s’affaiblissait jamais. Ses longues jambes musclées avaient une facilité exceptionnelle à enserrer mon corps avec douceur, ce qui avait le pouvoir de réveiller fortement mon désir de l’embrasser passionnément, ce qu’il adorait.
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Comme tout Italien en position de responsabilité ne peut refuser quoi que ce soit à une femme en détresse aux yeux bleus suppliants, il me gratifia d’un sourire et d’un regard langoureux, la panoplie basique du parfait mâle méditerranéen. «Si, Signorina.» Toujours dans mon italien approximatif, je poursuivis: «J’ai une lettre d’amour très importante que je tiens absolument à écrire, ici et maintenant, sur le balcon de Juliette. Il en va de mon bonheur et de ma vie tout entière. Sinon je vais en être malade. J’ai déjà très mal au cœur…»
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«L’amour est une infidélité envers soi-même», a écrit Stéphane Mallarmé. Dans cet épisode, je ne fus pas «infidèle envers moi-même», puisque je n’ai pas répondu à mon sentiment. Quand on tombe en amour, souvent on renonce à une partie de soi. Pour plaire. Pour garder. On ne s’écoute plus. On passe en second. Si j’avais été infidèle envers moi-même, je serais allée vers ce qui m’attirait le plus, quitte à en subir les conséquences et à enrichir le tableau de chasse du séducteur. L’aventure avec Christophe m’aurait davantage comblée.
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L’amour peut vous métamorphoser. Le dernier amour de Grey Owl l’a transformé. De trappeur sans pitié qu’il était, sa femme en a fait un environnementaliste convaincu. Ma première femme (morte d’un cancer) m’a changé. Ma deuxième aussi. Quand vous avez le courage de vous abandonner à l’amour, vous vous transformez. Je ne veux ni peine ni haine dans ma vie. J’aime ma carrière et je profite de mon succès, mais c’est un jeu. L’amour, il n’y a que ça de vrai. C’est tout simple. Grey Owl était un être torturé, et je ne le suis pas.»
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Avec lui, j’aurais vogué dans un grand bateau dont le voyage ne finirait jamais… Le fantasme de l’amour absolu auquel nous rêvons tous au fond de notre cœur.
Moi qui croyais avoir tout réglé dans ma vie… Voilà que celui-là m’avait troublée au point de me donner envie de changer de vie. Si j’avais écouté mes sentiments, avec lui, j’étais prête à m’engager pour le reste de ma vie. Au moins d’essayer. Il m’a fait rêver d’une grande maison à la campagne. D’un feu de cheminée.
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La nouvelle liberté des femmes se révéla miraculeuse. Beaucoup se sont donné le droit d’aller là où leur désir les portait. Une revanche contre le puritanisme religieux et l’enfermement de nos mères. Un éclatement. Qui se vivait parfois contre les hommes quand ils ne nous convenaient pas. Nous n’avions plus besoin d’eux pour notre survie, alors qu’ils aillent au diable! Mais se blottir tout contre ceux qu’on aimait et se sentir tout chose…
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