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Citations de Mike Baron (20)


[Corum] N’as-tu pas peur de ce que je représente ?
[Arioch] Quoi donc ?
[Corum] La justice.
[Arioch] Oh ! Comme tu es étroit d’esprit ! Une telle chose n’existe pas !
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Un monde sans dieux est un monde où il n’y a guère à craindre.
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On peut toujours créer de nouveaux dieux.
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- C’est précisément ta capacité à aimer qui te rend si fort, Prince Corum.
- Et ma capacité à haïr ?
- Elle dirige ta force.
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- La haine ne doit-elle engendrer que la haine ? L’amour est-il incapable de proliférer ?
- Si le Seigneur Arkyn a raison, il n’en ira pas toujours ainsi. Mais ceux qui croient en l’amour doivent être prêts à mourir pour lui.
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- Je ne sais pas comment on fait pour tuer.
- Alors il va te falloir apprendre !
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L'anti-héros, héros malgré lui.
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Que la force soit avec toi !
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- faites vos valises, on déménage !
- Karrde à pris une décision ?
- nous avons des visiteurs, mais pas de tenue de soirée à votre taille. Allez ! En route !
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- La douleur est un enseignement qui ne peut s'ignorer. Aurais-tu préféré que Tarm soit mort par terre à sa place ?
- Il y avait d'autres moyens de l'arrêter.
- Mais aucun dont il se souviendrait aussi longtemps. Si tu laisses les autres oublier ta justice, tu seras contraint de répéter éternellement les mêmes leçons.
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Quand on est enfermé, on a l'impression d'être abandonné de tous. Je veux lui faire savoir en personne que certains ne l'oublient pas.
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- Bel atterrissage !
- au moins, la coupole est toujours là.
- tu ne me le pardonneras jamais, hein ?
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- le conseiller Fey’lya ne connaît pas d’autre motivation que sa survie politique. Ce vaisseau a été affrété par ses partisans.
Vous pouvez imaginer sa réticence à prendre le moindre risque pour une chose aussi démodée que la loyauté.
- est-ce vrai, Conseiller ? Tous ces discours promilitaires ne sont rien d’autre qu’un moyen d’obtenir le pouvoir politique ?
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Voyez-vous, Capitaine, c’est un Elomin qui commande cette force... et les Elomins sont incapables d’affronter une attaque déstructurée telle que la Marg Sabl.
Lorsque vous comprenez l’art d’une race, c’est la race que vous comprenez, Capitaine.
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- pourquoi aurais-je connu Thrawn pendant la guerre ?
- on raconte que vous avez servi l’Empire. Je voulais savoir si vous aviez des informations que nous pourrions utiliser contre eux.
- pas sur Thrawn. Il étudie ses adversaires et attaque leurs points faibles.
Il sait se replier quand il perd, ce qui est rare, comme vous l’avez constaté.
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- certains pourraient le dire de façon plus virulente. Ils pourraient dire que tu mens.
- vous croyez que je mens ?
- quoi un contrebandier, capable de mentir ? Quelle idée.
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Oui dommage, pourtant, d’abîmer ces récifs. Ce sont de véritables chefs-d’œuvre. Uniques, peut-être, puisqu’ils ont été créés par des êtres vivants non doués de conscience.
J’aurais souhaité pouvoir les observer de plus près.
« vous pouvez tirer dès que vous serez prêt, Capitaine. »
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Je ne sais pas, R2. Il a blessé quelqu’un aujourd’hui, et il s’est imposé dans une querelle, qu’il a tranchée par un jugement arbitraire. Je n’arrive pas à imaginer Ben ou Yoda agissant de la sorte...
Merci de ton intérêt, R2, mais je ne pense pas que ce soit un Jedi noir...
... À mon avis, le plus probable est que C’Baoth a perdu la tête.
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- ne te fatigue pas, la rouquine. Tes cheveux parlent pour toi. Mortel pour se faire repérer. Pardonne-moi l’expression.
- je ne sais pas combien on te paye, mais je t’offre le double.
- un tien vaut mieux que deux tu l’auras. J’aime bien les certitudes, rouquine.
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J’étais son bras droit ! En fait, on me nommait la « Main de l’Empereur ». Où que je sois dans la galaxie, il m’appelait et j’accourais. J’étais célèbre, puissante, respectée... mais vous m’avez tout pris !
À présent, l’Empire s’écroule et je ne suis plus rien !
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