On a sonné à 18 heures tapantes. C’étaient les Grubitz et les Mattieu. Je leur ai ouvert la porte, j’ai pris les bouteilles de vin, la tarte préparée par Mme Grubitz et j’ai apporté le tout dans la cuisine pendant que Miriam commençait sa performance théâtrale dans l’entrée. À partir de là, nous sommes passés en mode “famille heureuse et marrante”.