Il posa son front sur la table et, pendant les quelques minutes qui lui restaient au réfectoire, il laissa son esprit vagabonder vers ses bruits préférés : la neige qui tombe, les oiseaux, le doux martèlement de la pluie sur le toit. Le monde disparut - sa grisaille, sa cruauté, sa mesquinerie et ses peurs. Et la vieillle chanson toujours nichée au fond de son cœur se déploya une fois encore...