Je ne parvenais plus à faire la part des choses. J'avais besoin qu'on me soutienne, qu'on me console, qu'on m'explique que ce n'était pas moi la fautive, ni moi l'inconsciente ou la " paumée " et que je n'avais pas perdu le beau, en moi. J'avais besoin de savoir qu'il restait quelque chose de moi, de celle que j'étais avant.